Ph : Dan Kitwood/Reuters
Boris Johnson est congédié pour être au centre de moult scandales. Le dernier en date demeure celui de la nomination de Chris Pincher au poste de secrétaire du Parti conservateur au parlement. Le hic, c’est que dans la culture anglo-saxonne, un whip est chargé de veiller sur la bonne discipline des députés. Selon les médias locaux, Sir Pincher est accusé, par deux hommes, d'avoir exercé des attouchements sexuels sur eux.
Un « spectacle pathétique ». Voici ce que pense l’opposition british de cette conjoncture. Pour leur part, les conservateurs parlent de « prise de conscience tardive ».
«C’était la même chose lorsque l’argent des contribuables était détourné, et c’était la même chose lorsque lui et ses camarades ont fait la fête pendant le confinement. Quiconque démissionne maintenant, après avoir défendu tout cela, n’a pas la moindre parcelle d’intégrité", s'est insurgé Keir Starmer, le Chef de l'opposition travailliste.
De ce fait, les appels incitant le parlementaire à quitter le pouvoir se multiplient, y compris dans son propre camp. Par ailleurs, plus tôt dans la semaine, Johnson était enclin à s'obstiner et faire face à cette crise. « Le travail d’un premier ministre dans des circonstances difficiles, lorsqu’on vous a confié un mandat colossal, est de continuer à avancer », a-t-il déclaré, lors de la séance hebdomadaire de questions à la Chambre.
Bloomberg a, quant à lui, indiqué que Boris Johnson compte se retirer aujourd'hui, le 7 juillet, de son poste de Premier ministre, après cette vague d'indignation et d'exode des ministres et des responsables œuvrant sous sa tutelle.
Les prochaines heures seront décisives : le sort se profile graduellement. Le premier ministre britannique semble avoir succombé, selon les médias britanniques, ainsi que les tweets des responsables. Un changement est en gestation et doit voir le jour dans pas longtemps.
Un « spectacle pathétique ». Voici ce que pense l’opposition british de cette conjoncture. Pour leur part, les conservateurs parlent de « prise de conscience tardive ».
«C’était la même chose lorsque l’argent des contribuables était détourné, et c’était la même chose lorsque lui et ses camarades ont fait la fête pendant le confinement. Quiconque démissionne maintenant, après avoir défendu tout cela, n’a pas la moindre parcelle d’intégrité", s'est insurgé Keir Starmer, le Chef de l'opposition travailliste.
De ce fait, les appels incitant le parlementaire à quitter le pouvoir se multiplient, y compris dans son propre camp. Par ailleurs, plus tôt dans la semaine, Johnson était enclin à s'obstiner et faire face à cette crise. « Le travail d’un premier ministre dans des circonstances difficiles, lorsqu’on vous a confié un mandat colossal, est de continuer à avancer », a-t-il déclaré, lors de la séance hebdomadaire de questions à la Chambre.
Bloomberg a, quant à lui, indiqué que Boris Johnson compte se retirer aujourd'hui, le 7 juillet, de son poste de Premier ministre, après cette vague d'indignation et d'exode des ministres et des responsables œuvrant sous sa tutelle.
Les prochaines heures seront décisives : le sort se profile graduellement. Le premier ministre britannique semble avoir succombé, selon les médias britanniques, ainsi que les tweets des responsables. Un changement est en gestation et doit voir le jour dans pas longtemps.
