Depuis les temps sombres et incertains de la guerre froide, jamais la question de la paix et du vivre-ensemble n’a été aussi débattue qu’aujourd’hui. Entre les « actes de génocide » israéliens dans la bande de Gaza et la détérioration de la guerre en Ukraine, sans oublier les tensions que connaissent plusieurs autres pays du monde, à l’instar du Yémen, de la Birmanie ou encore la Syrie, les droits de l’Homme, tant prônés par l’Occident, sont violés à coups de roquettes, sous les regards de toute la communauté internationale.
Parallèlement, et avec la montée du populisme dans plusieurs régions du Monde, principalement en Europe, les discours incitant à la haine sont devenus monnaie courante, créant des ruptures au sein des sociétés, alimentées par la discrimination, le racisme et même la violence. En témoignent les actes de profanation du Saint Coran, qui se multiplient ces dernières années dans le Vieux Continent, heurtant les sentiments de plus d’un milliard et demi de musulmans. Des agissements criminels auxquels les autorités occidentales y répondent par un laxisme étonnant, sans aucune mesure coercitive. La journée internationale du vivre-ensemble dans la paix, célébrée le 16 mai de chaque année, est l’occasion d’élever nos voix contre cette haine, qui prend des dimensions inhumaines.
C’est aussi une occasion de rappeler aux grandes puissances mondiales les valeurs du vivre-ensemble, qu’elles ont elles-mêmes établies il y a à peine quelques décennies, tout en les incitant à intervenir pour mettre fin aux massacres, qui en disent long sur le grand échec de l’humanité sur terre.
Loin des conflits mondiaux, cette journée est aussi une opportunité d’évaluer les initiatives entreprises par le Maroc pour maintenir son rang de pays modèle de tolérance et du vivre-ensemble. Depuis des siècles, les Marocains, musulmans et juifs, cultivent l’entente cordiale et le respect envers les religions et les cultures, faisant du Royaume une terre multiculturelle par excellence. Telles sont les valeurs à promouvoir en ce 16 mai, dans une ère où le monde entier semble déboussolé !
Parallèlement, et avec la montée du populisme dans plusieurs régions du Monde, principalement en Europe, les discours incitant à la haine sont devenus monnaie courante, créant des ruptures au sein des sociétés, alimentées par la discrimination, le racisme et même la violence. En témoignent les actes de profanation du Saint Coran, qui se multiplient ces dernières années dans le Vieux Continent, heurtant les sentiments de plus d’un milliard et demi de musulmans. Des agissements criminels auxquels les autorités occidentales y répondent par un laxisme étonnant, sans aucune mesure coercitive. La journée internationale du vivre-ensemble dans la paix, célébrée le 16 mai de chaque année, est l’occasion d’élever nos voix contre cette haine, qui prend des dimensions inhumaines.
C’est aussi une occasion de rappeler aux grandes puissances mondiales les valeurs du vivre-ensemble, qu’elles ont elles-mêmes établies il y a à peine quelques décennies, tout en les incitant à intervenir pour mettre fin aux massacres, qui en disent long sur le grand échec de l’humanité sur terre.
Loin des conflits mondiaux, cette journée est aussi une opportunité d’évaluer les initiatives entreprises par le Maroc pour maintenir son rang de pays modèle de tolérance et du vivre-ensemble. Depuis des siècles, les Marocains, musulmans et juifs, cultivent l’entente cordiale et le respect envers les religions et les cultures, faisant du Royaume une terre multiculturelle par excellence. Telles sont les valeurs à promouvoir en ce 16 mai, dans une ère où le monde entier semble déboussolé !
