Selon un communiqué du ministère, l'objectif de cette réunion était « d'étudier et de discuter des propositions et des avis des organisations représentatives concernant le projet de loi relatif à l'enseignement scolaire, qui avait été soumis à ces organisations lors de la première réunion tenue le 10 octobre 2023 ».
« Les discussions lors de cette réunion ont permis d'intégrer dans le nouveau projet de loi certaines remarques et suggestions des représentants de ces organisations, dans le but d'améliorer les dispositions de ce projet », ajoute la même source, notant que le but est de « créer une école de qualité pour tous, de renforcer les compétences humaines, en s'appuyant sur les principes d'égalité des chances et d'amélioration de l'apprentissage, afin d'atteindre l'objectif suprême de faire progresser les individus et la société ».
La réunion a été également l’occasion pour partager le contenu « du statut particulier des personnels du ministère de l'éducation nationale avec ces organisations nationales, étant donné qu'elles sont un partenaire stratégique du ministère ».
Le ministre a souligné « l'approche consultative suivie par le ministère pour construire et mettre en œuvre la réforme éducative », en évoquant « les consultations nationales élargies pour élaborer la feuille de route 2022-2026 ». Et de préciser qu’actuellement, « le ministère s'efforce de mettre en œuvre ses objectifs stratégiques au travers d'une série de programmes et de chantiers. Cela inclut la mise en œuvre des accords signés entre le gouvernement et les syndicats de l'éducation les plus représentatifs en janvier 2023 ».
« Le nouveau statut particulier du personnel du ministère de l'éducation nationale est conçu comme un système qui valorise la profession enseignante, garantit la préservation des acquis, renforce la profession, soutient les enseignants dans leur parcours professionnel grâce à la formation initiale et continue, améliore leurs conditions de travail et résout plusieurs problèmes en suspens depuis des années », précise le communiqué.
De leur côté, les organisations représentatives des associations de parents d'élèves ont exprimé « leur appréciation pour l'approche consultative et participative adoptée par le ministère ». Elles ont souligné « le droit des élèves à bénéficier pleinement du temps scolaire, ainsi que la nécessité de la participation du personnel éducatif et administratif et de tous les acteurs à l'amélioration de la qualité de l'enseignement et à l'autonomisation des générations futures grâce à une éducation publique de qualité ».
« Les discussions lors de cette réunion ont permis d'intégrer dans le nouveau projet de loi certaines remarques et suggestions des représentants de ces organisations, dans le but d'améliorer les dispositions de ce projet », ajoute la même source, notant que le but est de « créer une école de qualité pour tous, de renforcer les compétences humaines, en s'appuyant sur les principes d'égalité des chances et d'amélioration de l'apprentissage, afin d'atteindre l'objectif suprême de faire progresser les individus et la société ».
La réunion a été également l’occasion pour partager le contenu « du statut particulier des personnels du ministère de l'éducation nationale avec ces organisations nationales, étant donné qu'elles sont un partenaire stratégique du ministère ».
Le ministre a souligné « l'approche consultative suivie par le ministère pour construire et mettre en œuvre la réforme éducative », en évoquant « les consultations nationales élargies pour élaborer la feuille de route 2022-2026 ». Et de préciser qu’actuellement, « le ministère s'efforce de mettre en œuvre ses objectifs stratégiques au travers d'une série de programmes et de chantiers. Cela inclut la mise en œuvre des accords signés entre le gouvernement et les syndicats de l'éducation les plus représentatifs en janvier 2023 ».
« Le nouveau statut particulier du personnel du ministère de l'éducation nationale est conçu comme un système qui valorise la profession enseignante, garantit la préservation des acquis, renforce la profession, soutient les enseignants dans leur parcours professionnel grâce à la formation initiale et continue, améliore leurs conditions de travail et résout plusieurs problèmes en suspens depuis des années », précise le communiqué.
De leur côté, les organisations représentatives des associations de parents d'élèves ont exprimé « leur appréciation pour l'approche consultative et participative adoptée par le ministère ». Elles ont souligné « le droit des élèves à bénéficier pleinement du temps scolaire, ainsi que la nécessité de la participation du personnel éducatif et administratif et de tous les acteurs à l'amélioration de la qualité de l'enseignement et à l'autonomisation des générations futures grâce à une éducation publique de qualité ».