Un Ramadan sans Covid mérite que l’on en parle en sonnet, que l’on y mette les formes et, surtout, que l’on en perpétue les acquis. L’ayant très bien compris, un grand nombre de centres culturels ont rouvert leurs portes au grand bonheur de leurs adeptes. Ils ont, de ce fait, mis les petits plats dans les grands pour mieux accueillir un public friand de ces soirées capables de concilier chant, spiritualité, piété, méditation et relaxation. Même les centres culturels européens ont accordé leurs aiguilles à l’heure du soufisme et des mouachahates, histoire de faire couleur locale. Tout cela en insufflant une nouvelle vitalité à un secteur qui était, il y a à peine deux ou trois ans, en voie de décomposition.
En effet, alors que le Covid-19 pénalisait durement l’économie mondiale, la sphère culturelle ne s’en est pas sortie indemne. La preuve en est que, depuis le début de l’année 2020, les festivals ont eu davantage tendance à disparaître qu’à réapparaître. Les événements du Ramadan n’en ont pas fait exception.
Bien heureusement, ce scénario macabre n’est pas allé jusqu’à jouer les prolongations, ouvrant ainsi la voie à un regain de vie que l’on peut ressentir aisément désormais. Dès lors, tous les espoirs deviennent perméables et tous les nouveaux projets culturels, à court ou à long termes, sont alors réalisables, car s’arrêter en si bon chemin équivaudrait à un bond en arrière.
Enfin, oublions un peu les vicissitudes de la vie et enhardissons nous à puiser tout le positivisme nécessaire dans ces événements qui nourrissent l’âme tout en nous rappelant les propos pleins d’optimisme du ministre de la Culture, qui ne cesse d’affirmer que les événements culturels sont à même d’être une sacrée pompe à finances pour tous les projets du Royaume.
En effet, alors que le Covid-19 pénalisait durement l’économie mondiale, la sphère culturelle ne s’en est pas sortie indemne. La preuve en est que, depuis le début de l’année 2020, les festivals ont eu davantage tendance à disparaître qu’à réapparaître. Les événements du Ramadan n’en ont pas fait exception.
Bien heureusement, ce scénario macabre n’est pas allé jusqu’à jouer les prolongations, ouvrant ainsi la voie à un regain de vie que l’on peut ressentir aisément désormais. Dès lors, tous les espoirs deviennent perméables et tous les nouveaux projets culturels, à court ou à long termes, sont alors réalisables, car s’arrêter en si bon chemin équivaudrait à un bond en arrière.
Enfin, oublions un peu les vicissitudes de la vie et enhardissons nous à puiser tout le positivisme nécessaire dans ces événements qui nourrissent l’âme tout en nous rappelant les propos pleins d’optimisme du ministre de la Culture, qui ne cesse d’affirmer que les événements culturels sont à même d’être une sacrée pompe à finances pour tous les projets du Royaume.
