Il s’agit du seul film marocain ayant participé à la compétition internationale du festival de Sundance (janvier-février 2020). « Qu’importe si les bêtes meurent » a remporté le Grand Prix du jury de ce prestigieux festival considéré comme étant l’un des plus importants évènements du cinéma indépendant au monde.
Après Sundance, le film a participé en compétition officielle au Festival International du Film de Court métrage de Clermont Ferrand (février 2020), le plus grand rendez-vous du film de court métrage dans le monde, avant de participer au Festival National du Film à Tanger (février-mars 2020), puis au Festival International du Court Métrage de Sao Paolo (août 2020), et au Festival International du Film Francophone de Namur (octobre 2020).
« Qu’importe si les bêtes meurent » poursuit donc sa belle carrière avec sa nomination par l'Académie des Oscars dans la catégorie du meilleur court métrage (avril 2021).
Produit par la société Jiango films, avec le soutien du Centre Cinématographique Marocain, « Qu’importe si les bêtes meurent » raconte en langue amazigh l’histoire d’Abdellah, un jeune berger et son père, qui assistent à la mort de leurs bêtes dans les hautes montagnes de l’Atlas. Abdellah doit donc aller se ravitailler dans un village environnant, avant de s’apercevoir que ce dernier a été déserté à cause d’un mystérieux événement.
Après Sundance, le film a participé en compétition officielle au Festival International du Film de Court métrage de Clermont Ferrand (février 2020), le plus grand rendez-vous du film de court métrage dans le monde, avant de participer au Festival National du Film à Tanger (février-mars 2020), puis au Festival International du Court Métrage de Sao Paolo (août 2020), et au Festival International du Film Francophone de Namur (octobre 2020).
« Qu’importe si les bêtes meurent » poursuit donc sa belle carrière avec sa nomination par l'Académie des Oscars dans la catégorie du meilleur court métrage (avril 2021).
Produit par la société Jiango films, avec le soutien du Centre Cinématographique Marocain, « Qu’importe si les bêtes meurent » raconte en langue amazigh l’histoire d’Abdellah, un jeune berger et son père, qui assistent à la mort de leurs bêtes dans les hautes montagnes de l’Atlas. Abdellah doit donc aller se ravitailler dans un village environnant, avant de s’apercevoir que ce dernier a été déserté à cause d’un mystérieux événement.