Dans la catégorie des Sciences sociales, le prix a été remporté par l’auteur Al Habib Astati Zine Eddine pour son ouvrage en arabe sur les mouvements de contestation au Maroc et la dynamique du changement dans la continuité, édité au Centre arabe de recherches et d’études politiques à Doha, tandis que dans la catégorie sciences humaines, le prix est revenu à Moustapha Bouaziz pour son œuvre «Les Nationalistes Marocains au XXème siècle: 1873-1999», paru en deux tomes chez Dar Afriqia-Asharq.
Le Prix des Etudes littéraires, linguistiques et artistiques a été décerné à Abderahmane El Tmara pour son livre, également en arabe sur le possible et l’imaginaire: La référence politique dans le récit, paru chez Dar Konoz Al-ma’rerfa en Jordanie, alors qu’un ouvrage qui approche la linguistique amazighe: caractéristiques et construction de la phrase, de son auteur Rachid Laâbdlaoui (Dar Bouregreg) a été primé dans la catégorie études sur la culture amazighe.
Pour la catégorie traduction, le jury du prix du livre a porté son choix sur Hassan Amili et Abderrazak El Asri pour leur traduction de l’ouvrage «Rabat et sa région» œuvre de la mission scientifique française paru aux éditions Dar Bouregreg, ex-aequo avec Abderrahim Hazl pour sa traduction du livre d’André Adam «Histoire de Casablanca, des origines à 1914», paru aux éditions Dar Al Aman.
Le prix de la poésie a été décerné à Mohamed Aniba El Hamri pour son recueil «Tartaoui Banjiaê Alqassid», paru chez Dar Aqarawyen, alors que le prix de la catégorie Narration est allé à Chouaib Halifi pour son roman en arabe «La tansa mataqoul» (n’oublie pas ce que tu dis).
L’écrivain amazighophone Abdellah El Menani, a été primé dans la catégorie de la création littéraire amazighe, alors que Abdellah Derkaoui s’est, quant à lui, adjugé le prix du livre de l’enfant et des jeunes pour son récit «Et la vie continue», paru aux imprimeries Bilal.
Les travaux des jurys du Prix du Maroc du Livre dans son édition de l’année 2020 ont été présidés par Abdelilah Belkeziz, tandis que la présidence des sous-jurys a été confiée à Latifa Meskini (poésie), Mohamed Adiouane (narration, créativité littéraire amazighe et livre destiné aux enfants et aux jeunes), Abdelghani Moundib (sciences sociales), Mohamed Cheikh (sciences humaines), Naoual Benbrahim (études littéraires, artistiques et linguistiques, et études de la culture amazighe) et Khalid Bensghir (traduction).
L’édition a été marquée par la participation de 222 ouvrages, répartis entre la poésie (26 livres), la narration (61), les sciences humaines (37), les sciences sociales (15), les études littéraires, artistiques et linguistiques (25), les études de la culture amazighe (1 livre), la création littéraire amazighe (24), le livre destiné aux enfants et aux jeunes (16) et la traduction (17).
Le Prix des Etudes littéraires, linguistiques et artistiques a été décerné à Abderahmane El Tmara pour son livre, également en arabe sur le possible et l’imaginaire: La référence politique dans le récit, paru chez Dar Konoz Al-ma’rerfa en Jordanie, alors qu’un ouvrage qui approche la linguistique amazighe: caractéristiques et construction de la phrase, de son auteur Rachid Laâbdlaoui (Dar Bouregreg) a été primé dans la catégorie études sur la culture amazighe.
Pour la catégorie traduction, le jury du prix du livre a porté son choix sur Hassan Amili et Abderrazak El Asri pour leur traduction de l’ouvrage «Rabat et sa région» œuvre de la mission scientifique française paru aux éditions Dar Bouregreg, ex-aequo avec Abderrahim Hazl pour sa traduction du livre d’André Adam «Histoire de Casablanca, des origines à 1914», paru aux éditions Dar Al Aman.
Le prix de la poésie a été décerné à Mohamed Aniba El Hamri pour son recueil «Tartaoui Banjiaê Alqassid», paru chez Dar Aqarawyen, alors que le prix de la catégorie Narration est allé à Chouaib Halifi pour son roman en arabe «La tansa mataqoul» (n’oublie pas ce que tu dis).
L’écrivain amazighophone Abdellah El Menani, a été primé dans la catégorie de la création littéraire amazighe, alors que Abdellah Derkaoui s’est, quant à lui, adjugé le prix du livre de l’enfant et des jeunes pour son récit «Et la vie continue», paru aux imprimeries Bilal.
Les travaux des jurys du Prix du Maroc du Livre dans son édition de l’année 2020 ont été présidés par Abdelilah Belkeziz, tandis que la présidence des sous-jurys a été confiée à Latifa Meskini (poésie), Mohamed Adiouane (narration, créativité littéraire amazighe et livre destiné aux enfants et aux jeunes), Abdelghani Moundib (sciences sociales), Mohamed Cheikh (sciences humaines), Naoual Benbrahim (études littéraires, artistiques et linguistiques, et études de la culture amazighe) et Khalid Bensghir (traduction).
L’édition a été marquée par la participation de 222 ouvrages, répartis entre la poésie (26 livres), la narration (61), les sciences humaines (37), les sciences sociales (15), les études littéraires, artistiques et linguistiques (25), les études de la culture amazighe (1 livre), la création littéraire amazighe (24), le livre destiné aux enfants et aux jeunes (16) et la traduction (17).