En réponse à une question orale sur "l'importance de la question culturelle dans les politiques publiques", présentée par le groupe de l’Union marocaine du travail (UMT), M. Bensaid a relevé que la culture peut résoudre de nombreuses problématiques relatives à l’emploi, notamment à la lumière des défis confrontés par certaines professions en raison du développement technologique.
Les industries culturelles peuvent contribuer à la création de nouveaux métiers, notamment dans les domaines de l'Intelligence artificielle et de l'industrie du gaming, qui connaissent un développement remarquable dans le Royaume, a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le ministre a souligné l'importance de l'adhésion de l'ensemble des acteurs concernés à la promotion de la culture, notant que le ministère assure la coordination entre les différents départements gouvernementaux, eu égard à la corrélation entre la culture et les politiques publiques.
Dans ce sens, il a appelé les conseils territoriaux élus, dont les régions et les communes, à être responsables de la préservation du patrimoine culturel et à s'engager dans le chantier de l'industrie culturelle, à travers l'élaboration des projets locaux qui auront un impact positif sur la situation économique et sociale, tout en répondant aux attentes des citoyens.
En réponse à une autre question orale sur "les mesures adoptées pour la préservation et la valorisation du patrimoine culturel matériel et immatériel du Royaume", présentée par le groupe authenticité et modernité, M. Bensaid a affirmé que le ministère a pris une batterie de mesures concrètes notamment administratives à même de préserver le patrimoine national, en particulier la réalisation des études et des recherches nécessaires pour faire connaître les différents éléments du patrimoine culturel, le suivi et l'évaluation des études et des interventions techniques, la coordination des travaux de gestion technique des inspections des monuments historiques et des sites archéologiques, l'organisation et le contrôle des chantiers de fouilles archéologiques et la collecte des documents nécessaires pour la réalisation d'un inventaire du patrimoine culturel matériel et immatériel, outre la préservation et la sauvegarde du patrimoine national oral.
Il a aussi évoqué la mise en œuvre des textes législatifs et réglementaires relatifs à la préservation et à la protection du patrimoine culturel, l'organisation des expositions, des débats et des manifestations, au Maroc et à l'étranger, pour mettre en avant la richesse du patrimoine national et le renforcement de la protection juridique, à travers le classement continu des éléments du patrimoine matériel et immatériel sur la liste du patrimoine national et mondial.
A cet égard, il a rappelé la conclusion de deux accords de partenariat portant sur la préservation du patrimoine culturel national à travers la protection de la propriété intellectuelle, entre le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, le ministère de l’Industrie et du commerce et l’Office marocain de propriété industrielle et commerciale (OMPIC).
De même, il a mis en relief l'importance de faire bénéficier les artisans et les acteurs actifs dans le domaine du patrimoine de la protection intellectuelle, ainsi que de financer les opérations menées par le Maroc pour inscrire le patrimoine culturel auprès des institutions internationales via l'OMPIC.
Les industries culturelles peuvent contribuer à la création de nouveaux métiers, notamment dans les domaines de l'Intelligence artificielle et de l'industrie du gaming, qui connaissent un développement remarquable dans le Royaume, a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le ministre a souligné l'importance de l'adhésion de l'ensemble des acteurs concernés à la promotion de la culture, notant que le ministère assure la coordination entre les différents départements gouvernementaux, eu égard à la corrélation entre la culture et les politiques publiques.
Dans ce sens, il a appelé les conseils territoriaux élus, dont les régions et les communes, à être responsables de la préservation du patrimoine culturel et à s'engager dans le chantier de l'industrie culturelle, à travers l'élaboration des projets locaux qui auront un impact positif sur la situation économique et sociale, tout en répondant aux attentes des citoyens.
En réponse à une autre question orale sur "les mesures adoptées pour la préservation et la valorisation du patrimoine culturel matériel et immatériel du Royaume", présentée par le groupe authenticité et modernité, M. Bensaid a affirmé que le ministère a pris une batterie de mesures concrètes notamment administratives à même de préserver le patrimoine national, en particulier la réalisation des études et des recherches nécessaires pour faire connaître les différents éléments du patrimoine culturel, le suivi et l'évaluation des études et des interventions techniques, la coordination des travaux de gestion technique des inspections des monuments historiques et des sites archéologiques, l'organisation et le contrôle des chantiers de fouilles archéologiques et la collecte des documents nécessaires pour la réalisation d'un inventaire du patrimoine culturel matériel et immatériel, outre la préservation et la sauvegarde du patrimoine national oral.
Il a aussi évoqué la mise en œuvre des textes législatifs et réglementaires relatifs à la préservation et à la protection du patrimoine culturel, l'organisation des expositions, des débats et des manifestations, au Maroc et à l'étranger, pour mettre en avant la richesse du patrimoine national et le renforcement de la protection juridique, à travers le classement continu des éléments du patrimoine matériel et immatériel sur la liste du patrimoine national et mondial.
A cet égard, il a rappelé la conclusion de deux accords de partenariat portant sur la préservation du patrimoine culturel national à travers la protection de la propriété intellectuelle, entre le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, le ministère de l’Industrie et du commerce et l’Office marocain de propriété industrielle et commerciale (OMPIC).
De même, il a mis en relief l'importance de faire bénéficier les artisans et les acteurs actifs dans le domaine du patrimoine de la protection intellectuelle, ainsi que de financer les opérations menées par le Maroc pour inscrire le patrimoine culturel auprès des institutions internationales via l'OMPIC.