Baraka a confirmé cela lors de sa présentation du projet de budget sectoriel du ministère de l’équipement et de l’eau au parlement.
Le ministre a précisé que 150 barrages ont été édifiés au Maroc depuis l’indépendance. Aujourd’hui, un programme ambitieux est en cours de mise en œuvre, prévoyant 155 nouvelles infrastructures hydrauliques. Sur ce total, 40 barrages sont déjà achevés, 80 sont en cours de réalisation, et plusieurs autres projets seront bientôt lancés.
Ces installations, a souligné Nizar Baraka, visent à renforcer la sécurité hydrique du Royaume, à garantir l’approvisionnement en eau potable et en eau d’irrigation, mais aussi à protéger les zones urbaines et les riverains contre les risques d’inondation.
S’agissant du programme de travail du ministère pour 2026, Nizar Baraka a indiqué que le département poursuivra la construction de 15 grands barrages, dont deux déjà en chantier.
Parallèlement, quatre stations de dessalement d’eau de mer seront réalisées, offrant une capacité annuelle de 532 millions de mètres cubes.
Le ministre a également annoncé la programmation de plusieurs études portant sur la planification des ressources hydriques, la qualité de l’eau, la réutilisation des eaux usées traitées, l’évaluation des ressources de surface et souterraines, la collecte des eaux pluviales, ainsi que l’approvisionnement en eau potable du monde rural. Le coût global de ces projets dépasse un milliard de dirhams.
Le responsable gouvernemental a par ailleurs précisé que les agences de bassins hydrauliques travaillent actuellement sur des plans de bassin intégrés à l’horizon 2050. Ces plans, élaborés selon une approche participative associant élus et société civile, constituent une base essentielle pour la préparation du Plan national de l’eau.
Abordant la nouvelle vision de planification de l’eau, Nizar Baraka a insisté sur une approche décentralisée et réaliste, construite à partir des spécificités de chaque région et bassin hydraulique. Cette démarche, a-t-il rappelé, s’inscrit dans le cadre des Hautes Orientations Royales, qui appellent à valoriser la dimension territoriale dans la gestion des ressources en eau, afin de garantir une gouvernance durable et équilibrée de ce secteur vital.
Le ministre a précisé que 150 barrages ont été édifiés au Maroc depuis l’indépendance. Aujourd’hui, un programme ambitieux est en cours de mise en œuvre, prévoyant 155 nouvelles infrastructures hydrauliques. Sur ce total, 40 barrages sont déjà achevés, 80 sont en cours de réalisation, et plusieurs autres projets seront bientôt lancés.
Ces installations, a souligné Nizar Baraka, visent à renforcer la sécurité hydrique du Royaume, à garantir l’approvisionnement en eau potable et en eau d’irrigation, mais aussi à protéger les zones urbaines et les riverains contre les risques d’inondation.
S’agissant du programme de travail du ministère pour 2026, Nizar Baraka a indiqué que le département poursuivra la construction de 15 grands barrages, dont deux déjà en chantier.
Parallèlement, quatre stations de dessalement d’eau de mer seront réalisées, offrant une capacité annuelle de 532 millions de mètres cubes.
Le ministre a également annoncé la programmation de plusieurs études portant sur la planification des ressources hydriques, la qualité de l’eau, la réutilisation des eaux usées traitées, l’évaluation des ressources de surface et souterraines, la collecte des eaux pluviales, ainsi que l’approvisionnement en eau potable du monde rural. Le coût global de ces projets dépasse un milliard de dirhams.
Le responsable gouvernemental a par ailleurs précisé que les agences de bassins hydrauliques travaillent actuellement sur des plans de bassin intégrés à l’horizon 2050. Ces plans, élaborés selon une approche participative associant élus et société civile, constituent une base essentielle pour la préparation du Plan national de l’eau.
Abordant la nouvelle vision de planification de l’eau, Nizar Baraka a insisté sur une approche décentralisée et réaliste, construite à partir des spécificités de chaque région et bassin hydraulique. Cette démarche, a-t-il rappelé, s’inscrit dans le cadre des Hautes Orientations Royales, qui appellent à valoriser la dimension territoriale dans la gestion des ressources en eau, afin de garantir une gouvernance durable et équilibrée de ce secteur vital.
