En 1984, à l’apogée de la puissance de l’Algérie et ses alliés en Afrique, le Polisario fut admis à l’Union Africaine (UA) à coups de pots-de-vin et de tripatouillages de coulisses. Aujourd’hui, 41 ans plus tard, cette présence est de plus en plus remise en question.
Le front séparatiste est plus que jamais isolé en Afrique où il perd de plus en plus souvent ses derniers alliés et assiste impuissant à la chute de ses bastions traditionnels, notamment dans les pays anglophones. Le revirement pro-marocain du Kenya et du Ghana en est la parfaite illustration.
Au moment où la liste des partisans de la marocanité du Sahara ne cesse de croître dans un contexte international favorable à la cause nationale, la présence du Polisario au sein de l’UA apparaît de plus en plus anachronique. Son éjection, longtemps espérée, est désormais un sujet de discussion fréquent dans les cercles diplomatiques de l’UA. La question est de savoir si les conditions sont enfin réunies pour que cette page se tourne. Décryptage.
Le front séparatiste est plus que jamais isolé en Afrique où il perd de plus en plus souvent ses derniers alliés et assiste impuissant à la chute de ses bastions traditionnels, notamment dans les pays anglophones. Le revirement pro-marocain du Kenya et du Ghana en est la parfaite illustration.
Au moment où la liste des partisans de la marocanité du Sahara ne cesse de croître dans un contexte international favorable à la cause nationale, la présence du Polisario au sein de l’UA apparaît de plus en plus anachronique. Son éjection, longtemps espérée, est désormais un sujet de discussion fréquent dans les cercles diplomatiques de l’UA. La question est de savoir si les conditions sont enfin réunies pour que cette page se tourne. Décryptage.
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