Quelques heures d’averses orageuses auront été suffisantes pour améliorer l’humeur de nos concitoyens. Dans un climat anxiogène, marqué par les restrictions de l’utilisation d’eau dans plusieurs villes, les dernières précipitations ont donné une lueur d’espoir. Même si ces pluies sont relativement tardives, elles peuvent encore sauver la saison agricole, et remplir les barrages en prévision d’une saison estivale qui s’annonçait compliquée.
Cet espoir est aussi manifeste dans les marchés de fruits et légumes. Le choc de la sécheresse sur les prix n’a pas eu lieu, contrairement aux années précédentes. On se rappelle tous l’inflation galopante qui a éreinté les poches des Marocains entre 2022 et 2023, à cause notamment d’une baisse de l’offre agroalimentaire. Quelques semaines avant le Ramadan, les prix des légumes restent stables, et ont même reculé pour certains produits comme la tomate.
Enfin, l’espoir d’une économie qui atteint enfin sa vitesse de croisière. Selon les dernières prévisions du HCP, la croissance du PIB se situerait à 3,2% en 2024, portée notamment par des secteurs comme l’industrie et le tourisme. Le secteur agricole reste évidemment important, mais il n’est plus vital pour notre économie. Les moins jeunes d’entre nous se souviennent tous de la façon dont la sécheresse des années 1980/90 avait plongé le pays dans un désespoir sans issue.
Aujourd’hui, grâce à la diversification de notre économie, nous ne sommes plus prisonniers de la bonne volonté de la pluviométrie. Et pouvons même dégager plusieurs milliards de dirhams, afin de rendre notre pays plus résilient aux effets du changement climatique.
Certes, il reste encore un long chemin à parcourir, mais savourons le plaisir de voir un sourire se dessiner sur les lèvres de nos concitoyens. Cette pluie est une opportunité de renforcer notre résilience et de poursuivre notre développement avec confiance. Alors, gardons espoir et continuons d’avancer ensemble vers un avenir plus prometteur.
Cet espoir est aussi manifeste dans les marchés de fruits et légumes. Le choc de la sécheresse sur les prix n’a pas eu lieu, contrairement aux années précédentes. On se rappelle tous l’inflation galopante qui a éreinté les poches des Marocains entre 2022 et 2023, à cause notamment d’une baisse de l’offre agroalimentaire. Quelques semaines avant le Ramadan, les prix des légumes restent stables, et ont même reculé pour certains produits comme la tomate.
Enfin, l’espoir d’une économie qui atteint enfin sa vitesse de croisière. Selon les dernières prévisions du HCP, la croissance du PIB se situerait à 3,2% en 2024, portée notamment par des secteurs comme l’industrie et le tourisme. Le secteur agricole reste évidemment important, mais il n’est plus vital pour notre économie. Les moins jeunes d’entre nous se souviennent tous de la façon dont la sécheresse des années 1980/90 avait plongé le pays dans un désespoir sans issue.
Aujourd’hui, grâce à la diversification de notre économie, nous ne sommes plus prisonniers de la bonne volonté de la pluviométrie. Et pouvons même dégager plusieurs milliards de dirhams, afin de rendre notre pays plus résilient aux effets du changement climatique.
Certes, il reste encore un long chemin à parcourir, mais savourons le plaisir de voir un sourire se dessiner sur les lèvres de nos concitoyens. Cette pluie est une opportunité de renforcer notre résilience et de poursuivre notre développement avec confiance. Alors, gardons espoir et continuons d’avancer ensemble vers un avenir plus prometteur.
