Tenue au siège de l’ICESCO à Rabat, une manifestation dédiée à l’événement, a permis la présentation de cette nouvelle solution sous forme de plateforme numérique intitulée TITRIT, qui veut dire étoile brillante en Amazigh.
Cette technologie ambitionne de fournir aux jeunes filles et aux femmes marocaines les outils et le soutien nécessaires pour les encourager à poursuivre des carrières scientifiques et technologiques tout en les sensibilisant au rôle que peut jouer la technologie dans l’avènement d’un monde durable.
TITRIT est donc une plateforme numérique web et mobile 100% marocaine, qui vise l’inclusion digitale de 50.000 jeunes filles âgées de 8 à 18 ans, issues des douze régions du Maroc.
L’idée a été concrétisée lorsque eSTEM Morocco a été sélectionnée à l’échelle internationale pour représenter le Maroc lors de la première édition de l'Aspen Institute Digital Equity Accelerator, en partenariat avec HP Inc, parmi sept associations d’Inde, des États-Unis et du Maroc, qui ont ainsi bénéficié d’un fonds de financement, d'un lot d’ordinateurs portables HP et d'un programme d’accompagnement pour contribuer à l'inclusion numérique au niveau local.
Saluant l’événement, la Ministre de la Solidarité, de l’Insertion Sociale et de la Famille Aawatif Hayar, a confirmé que le numérique contribue à améliorer le processus éducatif, en évoquant, à cet égard, les efforts déployés par le ministère à la faveur des programmes visant à renforcer la participation des femmes dans ce domaine.
Approchée par «L’Opinion», la co-Fondatrice et Présidente de eSTEM Morocco, Nezha LARHRISSI, s’est réjouie de pouvoir mener ce noble projet, dont elle a expliqué la raison d’être: « On a travaillé sur le terrain depuis 10 ans et on a fait deux observations : la première c'est que sans un accompagnement dans la durée, on ne peut pas susciter des transformations efficaces chez les filles; et la deuxième chose c'est que le digital a un pouvoir extraordinaire d'aller au contact des filles là où elles habitent, dans des régions lointaines, et donc nous avons combiné ces deux éléments pour penser la solution TITRIT au profit de ces jeunes».
Elle a noté la pertinence de la recommandation de la ministre Hayar, quand elle a déclaré que le leadership doit s’enseigner depuis la crèche ; et c’est ce qui se fait aujourd’hui. On va chercher des petites filles de 8 ans pour leur apprendre des compétences à travers un programme basé sur le digital».
Joint par « L’Opinion», l’analyste Communication du Programme d'échange Techwomen Zaria Qadafi, a expliqué : «On a été tous fiers de voir que 10 ans plus tard, eSTEM gagne cent mille dollars pour son projet. Techwomen a donc semé une graine que eSTEMa transforméeen fleur, et cette fleur s'est transformée en un champ plein de fleurs quereprésentent les jeunes filles».
Elle a ensuite enchainé que les femmes marocaines fréquentent de plus en plus l'université, le problème qui se pose aujourd'hui selon elle, c’est d’apporter une plus grande aide à celles en charge des tâches familiales. « Je pense que si on leur fournit des soins spéciaux avec des solutions innovantes, elles pourront travailler en dehors de chez elles», a-t-elle ajouté.
Les séances de discussion ont été marquées par des échanges féconds autour des pistes de solutions visant à favoriser des opportunités d'emploi pour les femmes, en lien avec les nouvelles chances qu’offre la plateforme créée et, de façon générale, les technologies de l'information pour réduire les inégalités de genre dans le domaine de la technologie.
Cette technologie ambitionne de fournir aux jeunes filles et aux femmes marocaines les outils et le soutien nécessaires pour les encourager à poursuivre des carrières scientifiques et technologiques tout en les sensibilisant au rôle que peut jouer la technologie dans l’avènement d’un monde durable.
TITRIT est donc une plateforme numérique web et mobile 100% marocaine, qui vise l’inclusion digitale de 50.000 jeunes filles âgées de 8 à 18 ans, issues des douze régions du Maroc.
L’idée a été concrétisée lorsque eSTEM Morocco a été sélectionnée à l’échelle internationale pour représenter le Maroc lors de la première édition de l'Aspen Institute Digital Equity Accelerator, en partenariat avec HP Inc, parmi sept associations d’Inde, des États-Unis et du Maroc, qui ont ainsi bénéficié d’un fonds de financement, d'un lot d’ordinateurs portables HP et d'un programme d’accompagnement pour contribuer à l'inclusion numérique au niveau local.
Saluant l’événement, la Ministre de la Solidarité, de l’Insertion Sociale et de la Famille Aawatif Hayar, a confirmé que le numérique contribue à améliorer le processus éducatif, en évoquant, à cet égard, les efforts déployés par le ministère à la faveur des programmes visant à renforcer la participation des femmes dans ce domaine.
Approchée par «L’Opinion», la co-Fondatrice et Présidente de eSTEM Morocco, Nezha LARHRISSI, s’est réjouie de pouvoir mener ce noble projet, dont elle a expliqué la raison d’être: « On a travaillé sur le terrain depuis 10 ans et on a fait deux observations : la première c'est que sans un accompagnement dans la durée, on ne peut pas susciter des transformations efficaces chez les filles; et la deuxième chose c'est que le digital a un pouvoir extraordinaire d'aller au contact des filles là où elles habitent, dans des régions lointaines, et donc nous avons combiné ces deux éléments pour penser la solution TITRIT au profit de ces jeunes».
Elle a noté la pertinence de la recommandation de la ministre Hayar, quand elle a déclaré que le leadership doit s’enseigner depuis la crèche ; et c’est ce qui se fait aujourd’hui. On va chercher des petites filles de 8 ans pour leur apprendre des compétences à travers un programme basé sur le digital».
Joint par « L’Opinion», l’analyste Communication du Programme d'échange Techwomen Zaria Qadafi, a expliqué : «On a été tous fiers de voir que 10 ans plus tard, eSTEM gagne cent mille dollars pour son projet. Techwomen a donc semé une graine que eSTEMa transforméeen fleur, et cette fleur s'est transformée en un champ plein de fleurs quereprésentent les jeunes filles».
Elle a ensuite enchainé que les femmes marocaines fréquentent de plus en plus l'université, le problème qui se pose aujourd'hui selon elle, c’est d’apporter une plus grande aide à celles en charge des tâches familiales. « Je pense que si on leur fournit des soins spéciaux avec des solutions innovantes, elles pourront travailler en dehors de chez elles», a-t-elle ajouté.
Les séances de discussion ont été marquées par des échanges féconds autour des pistes de solutions visant à favoriser des opportunités d'emploi pour les femmes, en lien avec les nouvelles chances qu’offre la plateforme créée et, de façon générale, les technologies de l'information pour réduire les inégalités de genre dans le domaine de la technologie.
