Sortie ratée de l’équipe « Espoirs » marocaine jeudi soir à Rabat en match amical devant son homologue sénégalaise (0-4).
Autant cette défaite a surpris autant elle a semé le doute, aussi bien par l’ampleur du score que par la prestation des lionceaux.
Boff ! Ce n’est qu’un match amical, rétorquerait l’autre. Juste mais la déconvenue a quand même de quoi susciter des interrogations sur ses raisons véritables.
Le coach Houcine Ammouta serait certainement le premier à être pris à court.
Cela ne lui est pas arrivé durant une carrière très honorable, ponctuée par trois titres majeurs de Champion d’Afrique des Champions, vainqueur de la Coupe de la CAF et du CHAN.
Ce qui reste vrai est qu’il ne faudrait pas aller rapidement en besogne, en dénigrant le système technico-tactique car la faille pourrait se situer ailleurs, au niveau du choix de l’effectif par exemple.
Ammouta a-t-il failli à ce niveau ou bien l’éventail de choix était-il assez restreint ? Autrement dit, se serait-il contenté de se débrouiller avec ce qu’il a pu avoir sous la main ou encore n’avait-il pas bénéficié du temps suffisant pour monter le team souhaité ?
Il est fort probable que les sceptiques invoqueront surtout le cumul de fonctions et reprocheront à Ammouta d’avoir imité le chacal qui voulait capter deux sauterelles d’un seul trait mais c’était pour les rater finalement toutes les deux.
Ils se poseront également la question de savoir si le coach avait raison d’accepter le cumul de deux fonctions, celle de sélectionneur de l’équipe « Espoirs » et celle d’entraineur du Wydad de Casablanca.
En tout cas, cette sortie ratée des Olympiques aura eu le mérite d’avoir mis à nu le retard pris dans le montage d’une équipe olympique suffisamment compétitive.
C’est dire qu’il reste beaucoup de pain sur la planche pour le staff technique, appelé à faire les bouchées doubles et en faisant montre de réalisme.
Autant cette défaite a surpris autant elle a semé le doute, aussi bien par l’ampleur du score que par la prestation des lionceaux.
Boff ! Ce n’est qu’un match amical, rétorquerait l’autre. Juste mais la déconvenue a quand même de quoi susciter des interrogations sur ses raisons véritables.
Le coach Houcine Ammouta serait certainement le premier à être pris à court.
Cela ne lui est pas arrivé durant une carrière très honorable, ponctuée par trois titres majeurs de Champion d’Afrique des Champions, vainqueur de la Coupe de la CAF et du CHAN.
Ce qui reste vrai est qu’il ne faudrait pas aller rapidement en besogne, en dénigrant le système technico-tactique car la faille pourrait se situer ailleurs, au niveau du choix de l’effectif par exemple.
Ammouta a-t-il failli à ce niveau ou bien l’éventail de choix était-il assez restreint ? Autrement dit, se serait-il contenté de se débrouiller avec ce qu’il a pu avoir sous la main ou encore n’avait-il pas bénéficié du temps suffisant pour monter le team souhaité ?
Il est fort probable que les sceptiques invoqueront surtout le cumul de fonctions et reprocheront à Ammouta d’avoir imité le chacal qui voulait capter deux sauterelles d’un seul trait mais c’était pour les rater finalement toutes les deux.
Ils se poseront également la question de savoir si le coach avait raison d’accepter le cumul de deux fonctions, celle de sélectionneur de l’équipe « Espoirs » et celle d’entraineur du Wydad de Casablanca.
En tout cas, cette sortie ratée des Olympiques aura eu le mérite d’avoir mis à nu le retard pris dans le montage d’une équipe olympique suffisamment compétitive.
C’est dire qu’il reste beaucoup de pain sur la planche pour le staff technique, appelé à faire les bouchées doubles et en faisant montre de réalisme.
