Les États-Unis ont condamné, mercredi l'appel du ministre israélien des Finances à raser le village palestinien de Huwara, qualifiant ces propos d'"irresponsables", "révoltants" et "répugnants".
"Tout comme nous condamnons l'incitation palestinienne à la violence, nous condamnons ces propos provocateurs qui s'apparentent également à une incitation à la violence", a déclaré le porte-parole du Département d'État, Ned Price.
Price a également exhorté le Premier ministre Netanyahu et d'autres hauts responsables israéliens à "rejeter et désavouer publiquement et clairement" ces déclarations.
"Tout comme nous condamnons l'incitation palestinienne à la violence, nous condamnons ces remarques provocatrices qui s'apparentent également à une incitation à la violence", a-t-il affirmé après avoir été interrogé sur les propos du ministre israélien lors d'un point de presse. "Nous appelons le Premier ministre Netanyahou et les autres hauts responsables israéliens à rejeter et désavouer publiquement et clairement ces propos", a ajouté Ned Price.
Les propos de Smotrich interviennent quelques jours après qu’une horde de colons israéliens aient attaqué, sous la protection des forces israéliennes, dimanche dernier,
le village de Huwara et les villages voisins, au sud de Naplouse, faisant un mort et plusieurs dizaines de blessés Palestiniens, en plus de la destruction et de l’incendie de dizaines de maisons et de voitures des particuliers.
Plusieurs maisons, installations et véhicules, ont été incendiés sans les menaces
terrorisantes des citoyens palestiniens, en particulier les enfants.
Lors d'une conférence organisée mercredi par le quotidien économique The Marker, Betsalel Smotrich, qui est également le chef du parti Sionisme religieux, s'est vu demander pourquoi il avait "liké" dimanche soir un tweet du maire adjoint du Conseil régional de Cisjordanie occupée, Davidi Ben Zion, qui appelait "à anéantir le village de Huwara".
"Parce que je pense que le village de Huwara doit être anéanti. Je pense que l'État d'Israël doit le faire", a répondu Smotrich, ajoutant que cette tâche ne devrait pas être effectuée par des citoyens.
"Tout comme nous condamnons l'incitation palestinienne à la violence, nous condamnons ces propos provocateurs qui s'apparentent également à une incitation à la violence", a déclaré le porte-parole du Département d'État, Ned Price.
Price a également exhorté le Premier ministre Netanyahu et d'autres hauts responsables israéliens à "rejeter et désavouer publiquement et clairement" ces déclarations.
"Tout comme nous condamnons l'incitation palestinienne à la violence, nous condamnons ces remarques provocatrices qui s'apparentent également à une incitation à la violence", a-t-il affirmé après avoir été interrogé sur les propos du ministre israélien lors d'un point de presse. "Nous appelons le Premier ministre Netanyahou et les autres hauts responsables israéliens à rejeter et désavouer publiquement et clairement ces propos", a ajouté Ned Price.
Les propos de Smotrich interviennent quelques jours après qu’une horde de colons israéliens aient attaqué, sous la protection des forces israéliennes, dimanche dernier,
le village de Huwara et les villages voisins, au sud de Naplouse, faisant un mort et plusieurs dizaines de blessés Palestiniens, en plus de la destruction et de l’incendie de dizaines de maisons et de voitures des particuliers.
Plusieurs maisons, installations et véhicules, ont été incendiés sans les menaces
terrorisantes des citoyens palestiniens, en particulier les enfants.
Lors d'une conférence organisée mercredi par le quotidien économique The Marker, Betsalel Smotrich, qui est également le chef du parti Sionisme religieux, s'est vu demander pourquoi il avait "liké" dimanche soir un tweet du maire adjoint du Conseil régional de Cisjordanie occupée, Davidi Ben Zion, qui appelait "à anéantir le village de Huwara".
"Parce que je pense que le village de Huwara doit être anéanti. Je pense que l'État d'Israël doit le faire", a répondu Smotrich, ajoutant que cette tâche ne devrait pas être effectuée par des citoyens.
