Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a prévu d'effectuer une rare visite dans la ville de Jénine, environ une semaine après la fin de l'agression d’envergure israélienne dans la ville, ont révélé deux sources palestiniennes à la chaîne publique israélienne Kan. Il n’a pas été indiqué si le déplacement inclurait une visite dans le camp de réfugiés, épicentre de la résistance contre l’occupation et les soldats israéliens, ou si le leader palestinien se contenterait de rester dans la ville.
La venue de Mahmoud Abbas à Jénine est un événement inhabituel puisqu’il ne s’y est pas rendu depuis de nombreuses années. Cette initiative serait due à la perte de contrôle de l'Autorité palestinienne sur diverses parties du district de Jénine, dont la principale est le camp de réfugiés.
Par ailleurs et à l'issue d'une réunion de ses dirigeants lundi, l'Autorité palestinienne a rejeté les exigences d'Israël en échange d'une aide pour prévenir son effondrement financier.
Le Premier ministre palestinien, Mohammed Shtayyeh est allé jusqu'à affirmer que les conditions posées par le gouvernement israélien s'assimilaient à "de l'extorsion".
"Nous rejetons la demande d'Israël de cesser nos actions sur la scène internationale, ainsi que les paiements aux familles de martyrs. Cela n'arrivera pas", a déclaré Mohammed Shtayyeh, qui a également écarté l'éventualité que les Palestiniens cessent leurs constructions en zone C de Cisjordanie.
La venue de Mahmoud Abbas à Jénine est un événement inhabituel puisqu’il ne s’y est pas rendu depuis de nombreuses années. Cette initiative serait due à la perte de contrôle de l'Autorité palestinienne sur diverses parties du district de Jénine, dont la principale est le camp de réfugiés.
Par ailleurs et à l'issue d'une réunion de ses dirigeants lundi, l'Autorité palestinienne a rejeté les exigences d'Israël en échange d'une aide pour prévenir son effondrement financier.
Le Premier ministre palestinien, Mohammed Shtayyeh est allé jusqu'à affirmer que les conditions posées par le gouvernement israélien s'assimilaient à "de l'extorsion".
"Nous rejetons la demande d'Israël de cesser nos actions sur la scène internationale, ainsi que les paiements aux familles de martyrs. Cela n'arrivera pas", a déclaré Mohammed Shtayyeh, qui a également écarté l'éventualité que les Palestiniens cessent leurs constructions en zone C de Cisjordanie.
