Depuis que le membre extrémiste israélien de la Knesset, Itamar Ben Gvir, a assumé le poste de ministre de la Sécurité nationale dans le gouvernement de Benjamin Netanyahu, les violations israéliennes se sont intensifiées pour affecter toutes les formes de vie palestiniennes.
Parmi ces pratiques figurait l'escalade des attaques contre les prisonniers palestiniens, avec l’annonce par Ben Gvir d’un pack de mesures restreignant leur situation aux conditions déjà plus que difficiles à l'intérieur des prisons, notamment la réduction du temps des douches, la confiscation de certains de leurs biens, et l’intensification des fouilles, entre autres.
Les persécutions israéliennes ont également touché les prisonniers libérés originaires d’Al Qods, quelques jours seulement après que la Knesset a approuvé une loi stipulant le retrait de la nationalité et de la résidence des prisonniers palestiniens dits de 1948.
Les autorités d'occupation ont ciblé, dans cette campagne, 24 prisonniers de Jérusalem et 56 prisonniers libérés de la ville et leurs familles, alors que le ministre de l'armée d'occupation, Yoav Gallant, a pris la décision de saisir d’énormes sommes d’argent des habitants de Jérusalem ciblés, estimés à des centaines de milliers de shekels, sous prétexte qu'ils avaient été reçues de l'Autorité palestinienne, en référence aux indemnités que l'Autorité palestinienne verse aux familles des prisonniers lors de leur arrestation.
Selon des militants et des observateurs dans la ville, l'occupation avait mené auparavant une campagne similaire contre les prisonniers et les habitants de Jérusalem libérés, mais elle n'était pas aussi étendue.
Parmi ces pratiques figurait l'escalade des attaques contre les prisonniers palestiniens, avec l’annonce par Ben Gvir d’un pack de mesures restreignant leur situation aux conditions déjà plus que difficiles à l'intérieur des prisons, notamment la réduction du temps des douches, la confiscation de certains de leurs biens, et l’intensification des fouilles, entre autres.
Les persécutions israéliennes ont également touché les prisonniers libérés originaires d’Al Qods, quelques jours seulement après que la Knesset a approuvé une loi stipulant le retrait de la nationalité et de la résidence des prisonniers palestiniens dits de 1948.
Les autorités d'occupation ont ciblé, dans cette campagne, 24 prisonniers de Jérusalem et 56 prisonniers libérés de la ville et leurs familles, alors que le ministre de l'armée d'occupation, Yoav Gallant, a pris la décision de saisir d’énormes sommes d’argent des habitants de Jérusalem ciblés, estimés à des centaines de milliers de shekels, sous prétexte qu'ils avaient été reçues de l'Autorité palestinienne, en référence aux indemnités que l'Autorité palestinienne verse aux familles des prisonniers lors de leur arrestation.
Selon des militants et des observateurs dans la ville, l'occupation avait mené auparavant une campagne similaire contre les prisonniers et les habitants de Jérusalem libérés, mais elle n'était pas aussi étendue.
