La confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc (FNPSPM) ont annoncé, dans un communiqué, leur refus des dispositions fiscales prévues dans le Projet de loi de finances (PLF) 2023.
Selon la même source, ils contestent les dispositions relatives au relèvement de l’Impôt sur les sociétés (IS) et à la retenue à la source au titre de l’Impôt sur le revenu (IR).
Dans leur communiqué, ils estiment que l’augmentation de 10% à 20% de l’impôt sur les sociétés réalisant un chiffre d’affaires inférieur à 300.000 dirhams, prévue dans le PLF 2023, constitue une «menace» pour ces petites et moyennes entreptises.
Par ailleurs, la confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc (FNPSPM), le syndicat national des médecins du secteur libéral (SNMSL) et la fédération nationale des syndicats des chirurgiens-dentistes du secteur privé (FNSMD) réitèrent, dans un communiqué conjoint, leur «totale mobilisation» aux côtés de l’ensemble des instances représentatives et des syndicats nationaux des autres professions libérales concernées par ces nouvelles mesures fiscales, afin de trouver des solutions «équitables».
Selon la même source, ils contestent les dispositions relatives au relèvement de l’Impôt sur les sociétés (IS) et à la retenue à la source au titre de l’Impôt sur le revenu (IR).
Dans leur communiqué, ils estiment que l’augmentation de 10% à 20% de l’impôt sur les sociétés réalisant un chiffre d’affaires inférieur à 300.000 dirhams, prévue dans le PLF 2023, constitue une «menace» pour ces petites et moyennes entreptises.
Par ailleurs, la confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc (FNPSPM), le syndicat national des médecins du secteur libéral (SNMSL) et la fédération nationale des syndicats des chirurgiens-dentistes du secteur privé (FNSMD) réitèrent, dans un communiqué conjoint, leur «totale mobilisation» aux côtés de l’ensemble des instances représentatives et des syndicats nationaux des autres professions libérales concernées par ces nouvelles mesures fiscales, afin de trouver des solutions «équitables».