Le secteur de l’offshoring emploie 130.000 personnes, principalement des jeunes, réparties dans différentes régions du Royaume, selon la ministre de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, Ghita Mezzour, qui, à chaque fois, rappelle le potentiel de ce secteur pour créer des emplois stables.
« Le secteur génère un volume d’exportations atteignant près de 15,7 milliards de dirhams par an, s’est-elle félicitée des progrès significatifs réalisés dans ce secteur, soulignant que le Maroc est passé de la troisième place en Afrique à la deuxième place en termes de délocalisation de services sur le continent.
De plus, le Royaume a amélioré son classement au niveau mondial, gagnant 12 places pour se hisser parmi les destinations privilégiées pour les opérateurs du nearshoring. La force attractive du Maroc, en tant que destination offshoring, poursuit-elle, est due essentiellement au soutien du gouvernement, aux investisseurs ainsi qu'à l'existence d'une infrastructure de transport importante, d'espaces dédiés, en l'occurrence de parcs d’activités d'offshoring et à l’existence d’un capital humain qualifié.
«Notre pays forme actuellement près de 13.000 compétences numériques par an et le gouvernement s'efforce d'augmenter considérablement ce nombre», a affirmé la responsable, rappelant l'ouverture de nouvelles filières en numérisation, Intelligence Artificielle, cybersécurité et d’autres filières.
« Le secteur génère un volume d’exportations atteignant près de 15,7 milliards de dirhams par an, s’est-elle félicitée des progrès significatifs réalisés dans ce secteur, soulignant que le Maroc est passé de la troisième place en Afrique à la deuxième place en termes de délocalisation de services sur le continent.
De plus, le Royaume a amélioré son classement au niveau mondial, gagnant 12 places pour se hisser parmi les destinations privilégiées pour les opérateurs du nearshoring. La force attractive du Maroc, en tant que destination offshoring, poursuit-elle, est due essentiellement au soutien du gouvernement, aux investisseurs ainsi qu'à l'existence d'une infrastructure de transport importante, d'espaces dédiés, en l'occurrence de parcs d’activités d'offshoring et à l’existence d’un capital humain qualifié.
«Notre pays forme actuellement près de 13.000 compétences numériques par an et le gouvernement s'efforce d'augmenter considérablement ce nombre», a affirmé la responsable, rappelant l'ouverture de nouvelles filières en numérisation, Intelligence Artificielle, cybersécurité et d’autres filières.
