Après des mois d’impasse, des progrès semblent être réalisés ces dernières semaines pour relancer l’accord de 2015 censé empêcher l’Iran de se doter de la bombe atomique. Washington s’était retiré de l’accord en 2018 et avait rétabli l’essentiel des sanctions économiques américaines contre Téhéran. Les négociations portent sur quatre dossiers : la levée des sanctions, la question du nucléaire, la vérification et l’obtention de garanties.
Vendredi, le Wall Street Journal a rapporté que l’administration américaine avait décidé d’exempter l’Iran de certaines sanctions pour ses activités nucléaires pacifiques tout en essayant de parvenir à un accord avec Téhéran sur le retour à l’accord nucléaire de 2015.
Mais l’Iran estime que l’initiative américaine de lever les sanctions sur certaines de ses activités nucléaires pacifiques était «bonne, mais ne répond tout de même pas aux attentes de Téhéran».C’est ce qui ressort d’un entretien téléphonique entre le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian et le chef de la politique étrangère de l’Union européenne Josep Borrell, samedi soir.
Des développements positifs, mais pas suffisants
Commentant la question, le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré que «depuis les négociations précédentes, il y a eu des développements positifs, mais ils ne répondent toujours pas aux attentes de son pays».
Abdollahian a remercié Josep Borrell et Enrique Mora, le coordinateur de l’Union européenne pour les négociations nucléaires avec l’Iran et leurs efforts visant à coordonner ces discussions. «Nous recherchons un bon accord avec détermination et franchise. Nous affirmons avec la même franchise et la même détermination de protéger nos lignes rouges et nos intérêts nationaux », a-t-il déclaré.
Pour sa part, le responsable de la politique étrangère de l’UE a estimé que les négociations de Vienne traversaient désormais un tournant important. «On s’attend à ce que toutes les parties viennent à Vienne avec un ordre du jour clair et afin de parvenir à un accord et d’être prêtes à prendre des décisions politiques, «a-t-il souligné. L’ancien président américain Donald Trump s’est retiré unilatéralement en 2018 de l’accord sur le nucléaire et a réimposé la plupart des sanctions économiques américaines à Téhéran.
Après le retrait de Trump et le rétablissement de sanctions sévères, l’Iran a progressivement commencé à violer les restrictions nucléaires stipulées dans l’accord.
Vendredi, le Wall Street Journal a rapporté que l’administration américaine avait décidé d’exempter l’Iran de certaines sanctions pour ses activités nucléaires pacifiques tout en essayant de parvenir à un accord avec Téhéran sur le retour à l’accord nucléaire de 2015.
Mais l’Iran estime que l’initiative américaine de lever les sanctions sur certaines de ses activités nucléaires pacifiques était «bonne, mais ne répond tout de même pas aux attentes de Téhéran».C’est ce qui ressort d’un entretien téléphonique entre le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian et le chef de la politique étrangère de l’Union européenne Josep Borrell, samedi soir.
Des développements positifs, mais pas suffisants
Commentant la question, le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré que «depuis les négociations précédentes, il y a eu des développements positifs, mais ils ne répondent toujours pas aux attentes de son pays».
Abdollahian a remercié Josep Borrell et Enrique Mora, le coordinateur de l’Union européenne pour les négociations nucléaires avec l’Iran et leurs efforts visant à coordonner ces discussions. «Nous recherchons un bon accord avec détermination et franchise. Nous affirmons avec la même franchise et la même détermination de protéger nos lignes rouges et nos intérêts nationaux », a-t-il déclaré.
Pour sa part, le responsable de la politique étrangère de l’UE a estimé que les négociations de Vienne traversaient désormais un tournant important. «On s’attend à ce que toutes les parties viennent à Vienne avec un ordre du jour clair et afin de parvenir à un accord et d’être prêtes à prendre des décisions politiques, «a-t-il souligné. L’ancien président américain Donald Trump s’est retiré unilatéralement en 2018 de l’accord sur le nucléaire et a réimposé la plupart des sanctions économiques américaines à Téhéran.
Après le retrait de Trump et le rétablissement de sanctions sévères, l’Iran a progressivement commencé à violer les restrictions nucléaires stipulées dans l’accord.