En Côte d’Ivoire, l’Organe de régulation du système de récépissé d’entrepôt (ORSRE) annonce que la campagne de l’année 2023 de la commercialisation des noix de cajou démarrera à la fin de ce mois d’avril. Elle est placée sous la houlette du ministère du Commerce, des acteurs de la filière anacarde et des autorités locales. Rappelons que la traite des noix de cajou fournit d’importants revenus aux milliers de cueilleurs du sud du pays. Selon l’ORSRE, en 2021, les exportations d’anacarde en provenance des régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor (sud) s’élevaient à 82.000 tonnes.
En 2022, les exportations de noix de cajou des trois régions étaient de 84.500 tonnes. Cependant, la filière est confrontée à l’inexistence d’équipements de transformation. Pourtant, la filière génère d’importantes activités génératrices de revenus pour les jeunes et les femmes. D’où l’appel au gouvernement en vue de soutenir davantage l’Organe de régulation du système de récépissé d’entrepôt et faciliter la [transformation], qui peut générer des emplois. Parallèlement, les pouvoirs publics sont également sollicités pour la protection des champs contre les animaux.
En 2022, les exportations de noix de cajou des trois régions étaient de 84.500 tonnes. Cependant, la filière est confrontée à l’inexistence d’équipements de transformation. Pourtant, la filière génère d’importantes activités génératrices de revenus pour les jeunes et les femmes. D’où l’appel au gouvernement en vue de soutenir davantage l’Organe de régulation du système de récépissé d’entrepôt et faciliter la [transformation], qui peut générer des emplois. Parallèlement, les pouvoirs publics sont également sollicités pour la protection des champs contre les animaux.
