Tels sont ses propos tenus en marge d’une cérémonie organisée samedi 10 décembre au siège du parti en l’honneur de l’ancien secrétaire de l’Association de la Jeunesse scolaire, Abdesslam Takki Chebihi. Dans un contexte complexe marqué par des transformations majeures à plusieurs niveaux, le Royaume mise sur sa jeunesse pour retracer les contours d’un avenir meilleur, a affirmé le Secrétaire Général du Parti de l’Istiqlal et ministre de l’Equipement et de l’Eau, faisant le tour des mesures prises par le gouvernement pour réussir l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.
« Le Parti de l’Istiqlal est l’un des premiers partis à avoir assis l’Alliance istiqlalienne et l’Association de la Jeunesse scolaire, ce qui témoigne de notre intérêt pour la jeunesse», a déclaré Nizar Baraka, qui a tenu à marquer sa présence à la cérémonie organisée, samedi 10 décembre au siège du Parti de l’Istiqlal, en l’honneur du secrétaire de l’Association de la Jeunesse scolaire, Abdesslam Takki Chebihi. Et d’ajouter : « Aucun objectif de développement ne peut être atteint sans la participation des nouvelles générations. Miser sur la jeunesse marocaine, c’est miser sur une force active, puissante, motivée et capable de conduire le changement vers un avenir meilleur».
Mille et une mesures pour renforcer le rôle des jeunes
Après avoir évoqué les multiples défis auxquels la jeunesse marocaine est confrontée, Nizar Baraka a mis en exergue les objectifs atteints et les ambitions de demain quant à l’insertion socioprofessionnelle des jeunes. «Notre pari consiste depuis toujours en l’investissement sur les jeunes », a-t-il insisté. Sachant que l’emploi constitue un sujet de première importance pour les jeunes, Nizar Baraka a indiqué que la Loi de Finances de 2023, adoptée le 8 décembre à la Chambre des Représentants, prévoit la création d’un total de 40.000 postes d’emploi pour intégrer les jeunes dans la Fonction publique.
Dans ce sens, le ministre istiqlalien a relevé que les investissements réalisés en 2022 ont permis de créer des milliers d’emplois au niveau national. Cela a eu pour conséquence, selon Baraka, de diminuer le taux de chômage à 11%, sachant que l’objectif est d’atteindre 8% en 2026 pour un investissement de 300 milliards de dirhams en 2023, au lieu de 240 milliards de dirhams en 2022.
Lancé en 2020 sur instructions royales, le Fonds Mohammed VI pour l’investissement sera renforcé avec 150 milliards de dirhams en vue d’accorder des prêts aux entreprises actives dans les secteurs que le Maroc considère prioritaires, notamment les énergies renouvelables et les nouvelles technologies, l’eau et les équipements, l’industrie entre autres. Une mesure qui permettra de créer de nouveaux postes d’emploi dans des secteurs à forte valeur ajoutée, a signalé M. Baraka. Il a de même passé en revue la valeur des programmes mis en place par le Royaume visant à intégrer la jeunesse dans le marche du travail, notamment le programme Tahfiz qui a été prorogé à fin 2026. Le programme Tahfiz, rappelons-le, est une mesure d’incitation à l’embauche au profit des entreprises nouvellement créées qui offre des avantages majeurs à l’entreprise et au salarié.
En effet, l’Etat prend en charge, pour deux ans, la part patronale des cotisations sociales (cotisations CNSS/AMO) et la part de l’employeur relative à l’impôt sur la formation professionnelle. Le salarié recruté, quant à lui, bénéficie d’une exonération de l’impôt sur le revenu (IR) à hauteur de 10.000 dhs. Dans le même sillage, le ministre a relevé que le programme Awrach a permis de créer 125.000 postes d’emploi en 2022 et devra créer 125.000 autres en 2023. Nizar Baraka a, d’autre part, indiqué que des mesures encourageantes sont mises en place en vue d’encourager les petites et moyennes entreprises.
En fait, le gouvernement a procédé à la baisse de l’impôt à 20% et à 10% sur les entreprises dont les bénéfices atteignent 300.000 dirhams. Afin de réduire les disparités territoriales en matière d’investissement, le SG istiqlalien a indiqué que les investisseurs dans les régions lointaines bénéficieront d’une exonération fiscale de 2% et 1,75 % dans le domaine agricole.
A l’occasion de la cérémonie d’hommage, Nizar Baraka a salué les efforts et les sacrifices et d’Abdesslam Takki Chebihi qui occupait le poste de secrétaire général de l’Association de la jeunesse scolaire, ainsi que son engagement constant envers le Parti de la Balance et l’Association.
« Le Parti de l’Istiqlal est l’un des premiers partis à avoir assis l’Alliance istiqlalienne et l’Association de la Jeunesse scolaire, ce qui témoigne de notre intérêt pour la jeunesse», a déclaré Nizar Baraka, qui a tenu à marquer sa présence à la cérémonie organisée, samedi 10 décembre au siège du Parti de l’Istiqlal, en l’honneur du secrétaire de l’Association de la Jeunesse scolaire, Abdesslam Takki Chebihi. Et d’ajouter : « Aucun objectif de développement ne peut être atteint sans la participation des nouvelles générations. Miser sur la jeunesse marocaine, c’est miser sur une force active, puissante, motivée et capable de conduire le changement vers un avenir meilleur».
Mille et une mesures pour renforcer le rôle des jeunes
Après avoir évoqué les multiples défis auxquels la jeunesse marocaine est confrontée, Nizar Baraka a mis en exergue les objectifs atteints et les ambitions de demain quant à l’insertion socioprofessionnelle des jeunes. «Notre pari consiste depuis toujours en l’investissement sur les jeunes », a-t-il insisté. Sachant que l’emploi constitue un sujet de première importance pour les jeunes, Nizar Baraka a indiqué que la Loi de Finances de 2023, adoptée le 8 décembre à la Chambre des Représentants, prévoit la création d’un total de 40.000 postes d’emploi pour intégrer les jeunes dans la Fonction publique.
Dans ce sens, le ministre istiqlalien a relevé que les investissements réalisés en 2022 ont permis de créer des milliers d’emplois au niveau national. Cela a eu pour conséquence, selon Baraka, de diminuer le taux de chômage à 11%, sachant que l’objectif est d’atteindre 8% en 2026 pour un investissement de 300 milliards de dirhams en 2023, au lieu de 240 milliards de dirhams en 2022.
Lancé en 2020 sur instructions royales, le Fonds Mohammed VI pour l’investissement sera renforcé avec 150 milliards de dirhams en vue d’accorder des prêts aux entreprises actives dans les secteurs que le Maroc considère prioritaires, notamment les énergies renouvelables et les nouvelles technologies, l’eau et les équipements, l’industrie entre autres. Une mesure qui permettra de créer de nouveaux postes d’emploi dans des secteurs à forte valeur ajoutée, a signalé M. Baraka. Il a de même passé en revue la valeur des programmes mis en place par le Royaume visant à intégrer la jeunesse dans le marche du travail, notamment le programme Tahfiz qui a été prorogé à fin 2026. Le programme Tahfiz, rappelons-le, est une mesure d’incitation à l’embauche au profit des entreprises nouvellement créées qui offre des avantages majeurs à l’entreprise et au salarié.
En effet, l’Etat prend en charge, pour deux ans, la part patronale des cotisations sociales (cotisations CNSS/AMO) et la part de l’employeur relative à l’impôt sur la formation professionnelle. Le salarié recruté, quant à lui, bénéficie d’une exonération de l’impôt sur le revenu (IR) à hauteur de 10.000 dhs. Dans le même sillage, le ministre a relevé que le programme Awrach a permis de créer 125.000 postes d’emploi en 2022 et devra créer 125.000 autres en 2023. Nizar Baraka a, d’autre part, indiqué que des mesures encourageantes sont mises en place en vue d’encourager les petites et moyennes entreprises.
En fait, le gouvernement a procédé à la baisse de l’impôt à 20% et à 10% sur les entreprises dont les bénéfices atteignent 300.000 dirhams. Afin de réduire les disparités territoriales en matière d’investissement, le SG istiqlalien a indiqué que les investisseurs dans les régions lointaines bénéficieront d’une exonération fiscale de 2% et 1,75 % dans le domaine agricole.
A l’occasion de la cérémonie d’hommage, Nizar Baraka a salué les efforts et les sacrifices et d’Abdesslam Takki Chebihi qui occupait le poste de secrétaire général de l’Association de la jeunesse scolaire, ainsi que son engagement constant envers le Parti de la Balance et l’Association.
