Longtemps réservé aux corporations de maâlems qui transmettaient leur savoir-faire de génération en génération, l’artisanat marocain attire de nouveaux passionnés à contrecourant. Venus d’horizons divers, ils fuient les écrans d’ordinateurs pour venir dépoussiérer l’image des métiers manuels et insuffler une ouverture sur la mode et les nouvelles technologies.
Une nouvelle génération qui emprunte parfois des chemins sinueux pour réaliser ses rêves. Si dans une première vie ils étaient cadres, ingénieurs ou fonctionnaires, ces néo-artisans renoncent à une carrière toute tracée et à la stabilité assurée pour une reconversion en accord avec leurs aspirations profondes. « L’Opinion » est allé à la rencontre de ces néo-artisans, nouveaux porte-étendards de métiers en déclin.
Une nouvelle génération qui emprunte parfois des chemins sinueux pour réaliser ses rêves. Si dans une première vie ils étaient cadres, ingénieurs ou fonctionnaires, ces néo-artisans renoncent à une carrière toute tracée et à la stabilité assurée pour une reconversion en accord avec leurs aspirations profondes. « L’Opinion » est allé à la rencontre de ces néo-artisans, nouveaux porte-étendards de métiers en déclin.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition VSD 28, 29 et 30 Juin 2024, disponible en kiosque.