Un groupe de ressortissants marocains vivent un véritable cauchemar à Myanmar où ils sont été pris au piège par de fausses opportunités d’emploi dans le secteur du commerce électronique en Thaïlande. Ils se sont finalement retrouvés kidnappés dans des zones contrôlées par des rebelles birmans, forcés à travailler dans des centres d'appels dédiés à la cybercriminalité.
Les dernières victimes sont six marocains qui ont été enlevés par des escrocs de centres d’appels dans le pays. La presse thaïlandaise rapporte que ces ressortissants ont été libérés suite à l’intervention du Bureau de l'immigration thaïlandais et après que leurs familles aient versé environ 10 000 USD de rançon aux escrocs en question.
Ces six victimes ont été libérées mardi 2 juillet après le paiement de la rançon, bien que la manière dont celle-ci a été acquittée (collectivement ou individuellement) n'ait pas été précisée.
Initialement, les victimes avaient versé 7 000 dollars au gang, mais n'avaient pas obtenu la libération promise, selon les médias locaux.
La même source a, par ailleurs, assuré que les victimes secourus seront pris en charge par le Bureau du développement social et de la sécurité humaine jusqu'à leur rapatriement au Maroc.
Les autres victimes marocaines détenues par les gangs d'escrocs en Thaïlande sont toujours en quête de l’aide. Outre les ressortissants marocains, des victimes d'autres pays comme le Sri Lanka, le Kenya, le Nigéria, l'Ouganda, l'Inde et les Philippines ont été piégés par les escrocs.
Les dernières victimes sont six marocains qui ont été enlevés par des escrocs de centres d’appels dans le pays. La presse thaïlandaise rapporte que ces ressortissants ont été libérés suite à l’intervention du Bureau de l'immigration thaïlandais et après que leurs familles aient versé environ 10 000 USD de rançon aux escrocs en question.
Ces six victimes ont été libérées mardi 2 juillet après le paiement de la rançon, bien que la manière dont celle-ci a été acquittée (collectivement ou individuellement) n'ait pas été précisée.
Initialement, les victimes avaient versé 7 000 dollars au gang, mais n'avaient pas obtenu la libération promise, selon les médias locaux.
La même source a, par ailleurs, assuré que les victimes secourus seront pris en charge par le Bureau du développement social et de la sécurité humaine jusqu'à leur rapatriement au Maroc.
Les autres victimes marocaines détenues par les gangs d'escrocs en Thaïlande sont toujours en quête de l’aide. Outre les ressortissants marocains, des victimes d'autres pays comme le Sri Lanka, le Kenya, le Nigéria, l'Ouganda, l'Inde et les Philippines ont été piégés par les escrocs.