Après cette déconvenue aux JO de Paris, les Lionceaux (devenus de véritables Lions) se sont vengés d’une formation ibérique arrogante, violente et belliqueuse comme ce n’est pas permis.
Dès l’entame du match, les coups violents contre les joueurs marocains et les coups bas se sont succédé sous l’œil d’un arbitre paraguayen semblant quelque peu pencher du côté espagnol, avant de se rappeler qu’il était le juge, donc tenu d’être impartial. À un certain moment, les supporters marocains ont commencé à se demander si ce directeur de jeu savait réellement ce que « impartialité » voulait dire.
Heureusement, sur deux actions génératrices de contestation (l’homme ayant sifflé deux penalties en faveur de l’Espagne), un consultant avec lequel l’arbitre échangeait ses points de vue l’a dissuadé de commettre l’irréparable. C’est ce dernier qui l’a remis sur le droit chemin, en l’encourageant à prendre les bonnes décisions à deux reprises.
Force est de reconnaître que nos jeunes nous remplissent d’aise, de fierté et de joie. Ils ont dominé le match de bout en bout sans céder aux provocations répétées des joueurs espagnols, qui se voyaient déjà champions du monde de leur catégorie. Un vibrant hommage doit être rendu à ce groupe qui a fait figure de commando sous la supervision du coach Mohamed Ouahbi. Ce dernier a eu l’intelligence de demander à ses troupes d’ignorer toutes les provocations.
Les Espagnols, arrivés en roulant des mécaniques, ont vite dû se rendre à l’évidence lorsque Othmane Maama, Boumessaoudi, Younes El Bahraoui, Yassine Gessime (élu homme du match), Hannori, Zabiri, Baaouf ont commencé à leur enseigner la conduite de balle, sa protection, les dribbles déroutants, le tout assaisonné d’une intelligence de jeu, dénominateur commun de tous les Marocains sur le terrain. Ces derniers n’ont pas cédé un pouce du terrain, chacun veillant à sa parcelle avec rigueur.
L’excellent portier Benchaouch, auteur de parades incroyables, a été soutenu par des défenseurs intraitables : Kebdani, Mamar, Bakhti, Zehouani, Taha.
Au milieu, Byar, Sadek, Khlifi, Anas Tajouart… tous ces garçons ont accompli leur mission avec brio.
Quant aux attaquants… vous connaissez la suite !
Le « Matador », qui a confondu le Lion de l’Atlas avec un taureau, a vite déchanté. Cette jeune formation qu’il avait en face de lui allait causer sa perte. Et c’est ce qui arriva. Zabiri et Jassim, deux noms que les Espagnols et leur coach ne sont pas près d’oublier, ont été leurs bourreaux. Victoire (2-0) pour le Maroc !
Marocains et fiers de l’être ! Ouallahi !
Dès l’entame du match, les coups violents contre les joueurs marocains et les coups bas se sont succédé sous l’œil d’un arbitre paraguayen semblant quelque peu pencher du côté espagnol, avant de se rappeler qu’il était le juge, donc tenu d’être impartial. À un certain moment, les supporters marocains ont commencé à se demander si ce directeur de jeu savait réellement ce que « impartialité » voulait dire.
Heureusement, sur deux actions génératrices de contestation (l’homme ayant sifflé deux penalties en faveur de l’Espagne), un consultant avec lequel l’arbitre échangeait ses points de vue l’a dissuadé de commettre l’irréparable. C’est ce dernier qui l’a remis sur le droit chemin, en l’encourageant à prendre les bonnes décisions à deux reprises.
Force est de reconnaître que nos jeunes nous remplissent d’aise, de fierté et de joie. Ils ont dominé le match de bout en bout sans céder aux provocations répétées des joueurs espagnols, qui se voyaient déjà champions du monde de leur catégorie. Un vibrant hommage doit être rendu à ce groupe qui a fait figure de commando sous la supervision du coach Mohamed Ouahbi. Ce dernier a eu l’intelligence de demander à ses troupes d’ignorer toutes les provocations.
Les Espagnols, arrivés en roulant des mécaniques, ont vite dû se rendre à l’évidence lorsque Othmane Maama, Boumessaoudi, Younes El Bahraoui, Yassine Gessime (élu homme du match), Hannori, Zabiri, Baaouf ont commencé à leur enseigner la conduite de balle, sa protection, les dribbles déroutants, le tout assaisonné d’une intelligence de jeu, dénominateur commun de tous les Marocains sur le terrain. Ces derniers n’ont pas cédé un pouce du terrain, chacun veillant à sa parcelle avec rigueur.
L’excellent portier Benchaouch, auteur de parades incroyables, a été soutenu par des défenseurs intraitables : Kebdani, Mamar, Bakhti, Zehouani, Taha.
Au milieu, Byar, Sadek, Khlifi, Anas Tajouart… tous ces garçons ont accompli leur mission avec brio.
Quant aux attaquants… vous connaissez la suite !
Le « Matador », qui a confondu le Lion de l’Atlas avec un taureau, a vite déchanté. Cette jeune formation qu’il avait en face de lui allait causer sa perte. Et c’est ce qui arriva. Zabiri et Jassim, deux noms que les Espagnols et leur coach ne sont pas près d’oublier, ont été leurs bourreaux. Victoire (2-0) pour le Maroc !
Marocains et fiers de l’être ! Ouallahi !