En ce vendredi au ciel mi-nuageux, mi-pluvieux, les supporters de la formation nationale marocaine s’impatientent pour les quarts de finale les plus cruciales de l’Histoire footballistique marocaine : ceux qui ont vu se qualifier les Lions de l’Atlas aux avant-derniers moments de la Coupe du Monde au Qatar et qui ont tenu en longue haleine les amoureux du ballon rond.
Dans les cafés, les supermarchés tout comme dans les enceintes gares ferroviaires, ce 9 décembre ressemble étrangement à une veille de fête. «J’peux pas, demain y’aura l’match » est la réponse à toutes les questions et invitations. Néanmoins, «tout est possible y compris la victoire des Lions de l’Atlas » s’accordent à dire les analystes sportifs et autres analystes en herbe.
Friand de telles célébrations et réalisations, le peuple marocain passe par de hauts... de très hauts moments.
Dans l'attente du résultat que des dizaines de millions de Marocains espèrent positif, les supporters du drapeau bicolore puisent leur gaieté dans le souvenir des scènes de liesse des marées humaines remplissant les principales artères du Royaume.
Mais il n'en demeure pas moins que le peuple marocain est déjà fier de son onze national, compte tenu des témoignages des fins connaisseurs du domaine. De plus, quoi qu'il en soit, une chose demeure certaine : c'est que quelque soit le résultat du match de ce samedi, les Lions de l'Atlas ont franchi un pas de géant en foulant, d'abord, le sol qatari lors de cette Coupe du monde et en arrivant jusqu'aux quarts de finale.
Dans les cafés, les supermarchés tout comme dans les enceintes gares ferroviaires, ce 9 décembre ressemble étrangement à une veille de fête. «J’peux pas, demain y’aura l’match » est la réponse à toutes les questions et invitations. Néanmoins, «tout est possible y compris la victoire des Lions de l’Atlas » s’accordent à dire les analystes sportifs et autres analystes en herbe.
Friand de telles célébrations et réalisations, le peuple marocain passe par de hauts... de très hauts moments.
Dans l'attente du résultat que des dizaines de millions de Marocains espèrent positif, les supporters du drapeau bicolore puisent leur gaieté dans le souvenir des scènes de liesse des marées humaines remplissant les principales artères du Royaume.
Mais il n'en demeure pas moins que le peuple marocain est déjà fier de son onze national, compte tenu des témoignages des fins connaisseurs du domaine. De plus, quoi qu'il en soit, une chose demeure certaine : c'est que quelque soit le résultat du match de ce samedi, les Lions de l'Atlas ont franchi un pas de géant en foulant, d'abord, le sol qatari lors de cette Coupe du monde et en arrivant jusqu'aux quarts de finale.