Les Lions de l'Atlas ont, encore une fois, fait rugir les Marocains. Photo: droits réservés.
Nous sommes à la corniche de Bouznika. Il est 16h00. Dans ce café dont le nom évoque les vagues de la mer à cause de sa proximité avec la Côte atlantique, l’étendard bicolore est brandi dans chaque coin et recoin de la salle archicombe. Des slogans en arabe maghrébin et moyen-oriental sont scandés en chœur. Le constat est sans appel : l’exultation est à son paroxysme.
Dès les premières minutes de ce match qui a mis aux prises la sélection nationale à son homologue canadienne, le pronostic est en demi-teinte mais reste néanmoins bien réaliste : toutes les voix s'accordent à dire que les joueurs de l'équipe ne sont pas des moindres et qu'ils sont à même de surprendre favorablement leur public qui ne cesse de croître, bon an, mal an. Mais il n'en demeure pas moins que le stress est le maître des lieux.
Après de longues minutes de patience, un but signé Ziyech a transformé le café en un Olympe de joie. En quelques fractions de seconde, ce joueur adulé par des millions de fans à travers le globe a plongé toute une nation dans un état de frénésie. La liesse a franchi le mur du son. Les vagues de l'Atlantique et les bufandas en ont dansé.
Quelques minutes plus tard, le deuxième but de l’équipe marocaine est marqué, faisant ipso facto l’objet d’un regain de confiance chez tout un peuple. Un but, un seul, a sonné le glas d’une longue période d’attente. Le passage au deuxième tour est garanti, malgré le but de l’équipe canadienne qui n'a pas diminué d'un iota l'exultation du public.
Somme toute, encore une fois, les Lions de l’Atlas ont rassemblé des foules en pleine corniche de cette cité balnéaire un jour où il a plu des cordes.
Dès les premières minutes de ce match qui a mis aux prises la sélection nationale à son homologue canadienne, le pronostic est en demi-teinte mais reste néanmoins bien réaliste : toutes les voix s'accordent à dire que les joueurs de l'équipe ne sont pas des moindres et qu'ils sont à même de surprendre favorablement leur public qui ne cesse de croître, bon an, mal an. Mais il n'en demeure pas moins que le stress est le maître des lieux.
Après de longues minutes de patience, un but signé Ziyech a transformé le café en un Olympe de joie. En quelques fractions de seconde, ce joueur adulé par des millions de fans à travers le globe a plongé toute une nation dans un état de frénésie. La liesse a franchi le mur du son. Les vagues de l'Atlantique et les bufandas en ont dansé.
Quelques minutes plus tard, le deuxième but de l’équipe marocaine est marqué, faisant ipso facto l’objet d’un regain de confiance chez tout un peuple. Un but, un seul, a sonné le glas d’une longue période d’attente. Le passage au deuxième tour est garanti, malgré le but de l’équipe canadienne qui n'a pas diminué d'un iota l'exultation du public.
Somme toute, encore une fois, les Lions de l’Atlas ont rassemblé des foules en pleine corniche de cette cité balnéaire un jour où il a plu des cordes.
