Pendant de longues années, le Maroc a fait «le choix du tout voiture», ce qui a, naturellement, entravé le développement des infrastructures dédiées aux transports en commun. Conscient des lacunes de cette décision, le ministre du Transport et de la Logistique, Mohammed Abdeljalil, cherche à rectifier le tir en mettant en place un schéma de mobilité nationale qui favorise l’usage des transports collectifs. Un chantier qui requiert des investissements titanesques dans les infrastructures routières, mais qui implique également un changement de paradigme « de sorte à encourager les citoyens à aller vers le transport en commun et les décourager d’utiliser les véhicules individuels». Eclairage.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du 12 juin disponible en kiosque.
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