En réponse à une question lors de la séance des questions orales, tenue ce lundi 29 mai devant la Chambre des Représentants, le ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l'Innovation Abdellatif Miraoui, a précisé que le projet sur lequel s’était engagé le précédent gouvernement, et consistant en la construction d'une université pluridisciplinaire dans la commune Ait Kamra, relevant de la région de Taza-Al Hoceïma-Taounate, a été annulé par l’actuel gouvernement.
Le ministre a dans ce sens précisé que « tous les rapports publiés par les commissions d'évaluation et le Conseil supérieur de l'éducation ont mis en cause la pertinence de la programmation de telles universités pluridisciplinaires.
Cette décision est d’ailleurs loi d’être appréciée par la population de la ville et des régions concernées. A Al Hoceima, les voix sont nombreuses à réclamer la concrétisation de ce projet que le Conseil du gouvernement avait confirmé il y a plus de quatre années, par la voix de l’ancien ministre de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Saïd Amzazi.
Dans le même sillage, le ministre a expliqué que la création de nouvelles facultés doit se faire dans le cadre d’un schéma directeur pour le développement de l’offre de formation universitaire qui couvrira la période allant jusqu’en 2030.
Il a considéré que le plus important aujourd'hui, c'est de construire de grands complexes universitaires qui offrent toutes les conditions d’une formation performante. L’objectif étant de s’inscrire dans une vision qui fait de «l’université une locomotive du développement social, économique et environnemental du pays ».
Pour rappel, le ministre avait précédemment fait savoir que le Maroc disposait de 23 universités, dont 12 publiques, 5 faisant l’objet d’un partenariat public-privé et 5 étant des établissements privés. D’après le ministre, «ces universités permettent déjà de proposer des formations dans l’ensemble des régions du Royaume, et les villes qui n’en disposent pas en ont au moins une à proximité».
Le ministre a dans ce sens précisé que « tous les rapports publiés par les commissions d'évaluation et le Conseil supérieur de l'éducation ont mis en cause la pertinence de la programmation de telles universités pluridisciplinaires.
Cette décision est d’ailleurs loi d’être appréciée par la population de la ville et des régions concernées. A Al Hoceima, les voix sont nombreuses à réclamer la concrétisation de ce projet que le Conseil du gouvernement avait confirmé il y a plus de quatre années, par la voix de l’ancien ministre de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Saïd Amzazi.
Dans le même sillage, le ministre a expliqué que la création de nouvelles facultés doit se faire dans le cadre d’un schéma directeur pour le développement de l’offre de formation universitaire qui couvrira la période allant jusqu’en 2030.
Il a considéré que le plus important aujourd'hui, c'est de construire de grands complexes universitaires qui offrent toutes les conditions d’une formation performante. L’objectif étant de s’inscrire dans une vision qui fait de «l’université une locomotive du développement social, économique et environnemental du pays ».
Pour rappel, le ministre avait précédemment fait savoir que le Maroc disposait de 23 universités, dont 12 publiques, 5 faisant l’objet d’un partenariat public-privé et 5 étant des établissements privés. D’après le ministre, «ces universités permettent déjà de proposer des formations dans l’ensemble des régions du Royaume, et les villes qui n’en disposent pas en ont au moins une à proximité».
