Cet indice émis annuellement par l'Institut Milken basé aux États-Unis prend en considération 5 caractéristiques primordiales dans chaque pays, en l'occurrence, "le climat des affaires", qui doit afficher moins de restrictions dans le commerce ainsi que la gestion flexible des conflits.
Ce même indice zoom, en outre, sur "les primordialités économiques" de chaque pays, que leur indice s'obtient à l'aide des prévisions économiques de chaque pays et les compétences de la manœuvre. Le volet financier n'est pas épargné et figure parmi les critères. La qualité "des services financiers" se réfère à l'accessibilité de l'Etat aux divers fonds financiers.
Dans ce sens, un quatrième critère demeure aussi important pour l'Institut Milken, est celui relatif au "Cadre institutionnel", qui répercute les efforts de l'Etat en matière des aides aux entreprises, et analyse sa conformité avec les politiques internationales en vigueur.
En 2022, le Maroc occupe la 80ème place dans le classement mondial, selon le rapport, avec une régression en termes de critère "primordialités économiques et politiques internationales". Néanmoins, une progression a été observée en ce qui concerne " le cadre institutionnel" en grimpant au 64e rang, 73e rang en " services financiers" et in fine 80e en climat des affaires".
Dans la région MENA, l'Israël et les Emirats arabes unis caracolent en tête, (24 et 30 à l'échelle mondiale), alors que le Maroc figure huitième dans la région derrière l'Arabie saoudite, en devançant ainsi la Tunisie, la Jordanie, l'Égypte, l'Algérie et le Liban.
Sur le plan mondial, la Suède figure en tête devant le Royaume-Uni, le Danemark, Finlande et les Pays-Bas.
Le climat des affaires et l'attractivité économique du Maroc ont été autopsiés par l'Institut Milken en 2017, dont les résultats ont été publiés dans le rapport " indice international des opportunités", où il était 97ème à l'échelle mondiale.
Le Maroc s'est engagé dans l'amélioration dudit climat en 2018, où il a pu grimper à la 82ème place. Or, en 2019 a été observé au 88ème rang. Entre 2020 et 2021 a oscillé respectivement entre la 83ème place et la 86ème.
Ce même indice zoom, en outre, sur "les primordialités économiques" de chaque pays, que leur indice s'obtient à l'aide des prévisions économiques de chaque pays et les compétences de la manœuvre. Le volet financier n'est pas épargné et figure parmi les critères. La qualité "des services financiers" se réfère à l'accessibilité de l'Etat aux divers fonds financiers.
Dans ce sens, un quatrième critère demeure aussi important pour l'Institut Milken, est celui relatif au "Cadre institutionnel", qui répercute les efforts de l'Etat en matière des aides aux entreprises, et analyse sa conformité avec les politiques internationales en vigueur.
En 2022, le Maroc occupe la 80ème place dans le classement mondial, selon le rapport, avec une régression en termes de critère "primordialités économiques et politiques internationales". Néanmoins, une progression a été observée en ce qui concerne " le cadre institutionnel" en grimpant au 64e rang, 73e rang en " services financiers" et in fine 80e en climat des affaires".
Dans la région MENA, l'Israël et les Emirats arabes unis caracolent en tête, (24 et 30 à l'échelle mondiale), alors que le Maroc figure huitième dans la région derrière l'Arabie saoudite, en devançant ainsi la Tunisie, la Jordanie, l'Égypte, l'Algérie et le Liban.
Sur le plan mondial, la Suède figure en tête devant le Royaume-Uni, le Danemark, Finlande et les Pays-Bas.
Le climat des affaires et l'attractivité économique du Maroc ont été autopsiés par l'Institut Milken en 2017, dont les résultats ont été publiés dans le rapport " indice international des opportunités", où il était 97ème à l'échelle mondiale.
Le Maroc s'est engagé dans l'amélioration dudit climat en 2018, où il a pu grimper à la 82ème place. Or, en 2019 a été observé au 88ème rang. Entre 2020 et 2021 a oscillé respectivement entre la 83ème place et la 86ème.
