Ph: DR
Un orage et la Lune se sont donc alliés pour produire un splendide tableau. Un phénomène aussi magnifique qu’étrange a été photographié par les astronautes à bord de la station spatiale internationale. Deux masses bleues et brillantes semblent flotter dans l’atmosphère, au-dessus de la mer de Chine.
L’image date de plusieurs mois mais elle n’a été publiée que le 9 octobre dernier par la Nasa, suscitant de nombreux commentaires intrigués. Pas d’ovni à l’horizon mais un étonnant concours de circonstances qui est à l’origine de ce duo de blobs bleutés : le premier, en bas à gauche de l’image, est provoqué par un violent orage dans le Golfe de Thaïlande.
D’ordinaire, rappelle Live Science, les éclairs sont difficilement observables depuis l’ISS. Mais une sorte de «trou» dans cette masse nuageuse en forme de caldera offre un point de vue exceptionnel sur le spectacle.
La seconde formation, à droite de la photo, semble similaire. Et pourtant, elle est de nature très différente : il s’agit cette fois de la lumière de la Lune qui traverse la couche atmosphérique terrestre. Sa couleur bleue est due aux microparticules en suspension sur lesquelles elle se reflète explique l’Earth Observatory de la Nasa.
L’image date de plusieurs mois mais elle n’a été publiée que le 9 octobre dernier par la Nasa, suscitant de nombreux commentaires intrigués. Pas d’ovni à l’horizon mais un étonnant concours de circonstances qui est à l’origine de ce duo de blobs bleutés : le premier, en bas à gauche de l’image, est provoqué par un violent orage dans le Golfe de Thaïlande.
D’ordinaire, rappelle Live Science, les éclairs sont difficilement observables depuis l’ISS. Mais une sorte de «trou» dans cette masse nuageuse en forme de caldera offre un point de vue exceptionnel sur le spectacle.
La seconde formation, à droite de la photo, semble similaire. Et pourtant, elle est de nature très différente : il s’agit cette fois de la lumière de la Lune qui traverse la couche atmosphérique terrestre. Sa couleur bleue est due aux microparticules en suspension sur lesquelles elle se reflète explique l’Earth Observatory de la Nasa.
