Tenue sous le slogan "La solidarité est une valeur qui nous connaît bien", cette réunion, s'est déroulée le samedi 8 juillet à la Chambre de commerce, d'industrie et de services de Casablanca-Settat (CCISCS), en se focalisant sur la question de l'accès des migrants aux services de santé au Maroc et le confortement du lien de confiance sanitaire avec les Marocains résidant à l'étranger.
Selon la direction de l'Association Bank de solidarité, les réfugiés et les migrants constituent un groupe diversifié ayant des besoins de santé spécifiques, qui peuvent différer de ceux des populations des pays d'accueil. Originaires de régions touchées par la guerre, les conflits, les catastrophes naturelles, la dégradation de l'environnement ou la crise économique, ils entreprennent des voyages longs et épuisants, avec un accès insuffisant à la nourriture, à l'eau, à l'assainissement et aux autres services essentiels.
Cette situation précaire accroît les risques de maladies transmissibles, telles que la rougeole, ainsi que les maladies d'origine alimentaire ou hydrique. De plus, ils sont exposés aux accidents, à l'hypothermie, aux brûlures, aux grossesses non désirées et aux complications liées à l'accouchement, ainsi qu'à plusieurs maladies non transmissibles en raison des conditions de migration et des politiques restrictives d'entrée et d'intégration, avec des effets délétères en termes d'exclusion sociale.
Selon la direction de l'Association Bank de solidarité, les réfugiés et les migrants constituent un groupe diversifié ayant des besoins de santé spécifiques, qui peuvent différer de ceux des populations des pays d'accueil. Originaires de régions touchées par la guerre, les conflits, les catastrophes naturelles, la dégradation de l'environnement ou la crise économique, ils entreprennent des voyages longs et épuisants, avec un accès insuffisant à la nourriture, à l'eau, à l'assainissement et aux autres services essentiels.
Cette situation précaire accroît les risques de maladies transmissibles, telles que la rougeole, ainsi que les maladies d'origine alimentaire ou hydrique. De plus, ils sont exposés aux accidents, à l'hypothermie, aux brûlures, aux grossesses non désirées et aux complications liées à l'accouchement, ainsi qu'à plusieurs maladies non transmissibles en raison des conditions de migration et des politiques restrictives d'entrée et d'intégration, avec des effets délétères en termes d'exclusion sociale.
