Tenant compte des spécificités et des priorités de la région, ce plan d'action a été élaboré en coordination avec les services concernés, qui ont contribué par une batterie de propositions relatives à l’infrastructure, au contrôle, à l’éducation routière, à la sensibilisation et à la communication édifiante en termes d'amélioration de la sécurité routière.
Dans une allocution, le wali Karim Kassi-Lahlou a indiqué que cette rencontre offre l’opportunité de s’enquérir du bilan et d’évaluer les indicateurs de sécurité routière enregistrés au cours du premier plan quinquennal 2017-2021, dans la perspective d’élaborer le deuxième plan quinquennal 2022-2027. Il a mis l'accent sur l'amélioration enregistrée dans certains indicateurs durant la période de mise en œuvre du premier plan quinquennal, estimant qu’ils doivent inciter à la poursuite de la mobilisation et à l’intensification des efforts en vue de réaliser les objectifs de la Stratégie Nationale de Sécurité Routière, et de contribuer à atteindre l’objectif national consistant en la réduction de 50% du nombre de décès dans les accidents de la circulation, à l'horizon 2026.
De son côté, le DG de l'Agence Nationale de la Sécurité Routière (NARSA), Benacer Boulaajoul, a souligné que les indicateurs de la sécurité routière ont enregistré des avancées "positives", même s'ils restent encore loin des objectifs tracés, eu égard aux moyens financiers et humains mobilisés et aux volets relatifs à la gestion institutionnelle, estimant que le plan régional de sécurité routière représente un plan intégré et ouvert sur tous les secteurs.
Lors de cette réunion, marquée par la présence des gouverneurs des provinces de la région, le directeur régional de la NARSA, Ali Lakhrouf, a présenté les grandes lignes de ce plan régional de sécurité routière.
Ledit plan se décline en plusieurs recommandations incitant à l’entame des opérations de sensibilisation des conducteurs des bus de transport scolaire sur l’importance du respect du Code de la route et des règles de la sécurité routière, l'installation de radars automatiques fixes au niveau des points noirs identifiés, l’intensification des opérations de contrôle des conducteurs des motocyclettes et des triporteurs et l'implantation d’aires de repos gratuits en bordure des routes nationales et provinciales.
Le plan recommande aussi aux collectivités territoriales d'accorder une grande importance à la question de la circulation et au trafic routier, la généralisation de la signalisation routière horizontale et verticale, la création d’une base de données dédiée à la cartographie des accidents de circulation et à leurs facteurs, en coordination avec les instances de contrôle, outre la réalisation d’études spécifiques sur les accidents de la route.
Les autres intervenants ont mis l’accent sur l’importance de mettre en place des mécanismes juridiques efficaces et efficients tout en intensifiant la sensibilisation dans le but de réduire le nombre d'accidents de la route.
Ils ont aussi fait remarquer que la cité ocre accueille plusieurs manifestations internationales et se caractérise par une hausse du nombre de motos, ce qui requiert le renforcement des infrastructures de la ville en veillant à consacrer des voies dédiées aux motards et une gestion rigoureuse de la circulation.
Les intervenants ont également mis en exergue le rôle important de la société civile dans le cadre de la sensibilisation et la consécration de la culture de prévention notamment au sein des établissements scolaires.
Dans une allocution, le wali Karim Kassi-Lahlou a indiqué que cette rencontre offre l’opportunité de s’enquérir du bilan et d’évaluer les indicateurs de sécurité routière enregistrés au cours du premier plan quinquennal 2017-2021, dans la perspective d’élaborer le deuxième plan quinquennal 2022-2027. Il a mis l'accent sur l'amélioration enregistrée dans certains indicateurs durant la période de mise en œuvre du premier plan quinquennal, estimant qu’ils doivent inciter à la poursuite de la mobilisation et à l’intensification des efforts en vue de réaliser les objectifs de la Stratégie Nationale de Sécurité Routière, et de contribuer à atteindre l’objectif national consistant en la réduction de 50% du nombre de décès dans les accidents de la circulation, à l'horizon 2026.
De son côté, le DG de l'Agence Nationale de la Sécurité Routière (NARSA), Benacer Boulaajoul, a souligné que les indicateurs de la sécurité routière ont enregistré des avancées "positives", même s'ils restent encore loin des objectifs tracés, eu égard aux moyens financiers et humains mobilisés et aux volets relatifs à la gestion institutionnelle, estimant que le plan régional de sécurité routière représente un plan intégré et ouvert sur tous les secteurs.
Lors de cette réunion, marquée par la présence des gouverneurs des provinces de la région, le directeur régional de la NARSA, Ali Lakhrouf, a présenté les grandes lignes de ce plan régional de sécurité routière.
Ledit plan se décline en plusieurs recommandations incitant à l’entame des opérations de sensibilisation des conducteurs des bus de transport scolaire sur l’importance du respect du Code de la route et des règles de la sécurité routière, l'installation de radars automatiques fixes au niveau des points noirs identifiés, l’intensification des opérations de contrôle des conducteurs des motocyclettes et des triporteurs et l'implantation d’aires de repos gratuits en bordure des routes nationales et provinciales.
Le plan recommande aussi aux collectivités territoriales d'accorder une grande importance à la question de la circulation et au trafic routier, la généralisation de la signalisation routière horizontale et verticale, la création d’une base de données dédiée à la cartographie des accidents de circulation et à leurs facteurs, en coordination avec les instances de contrôle, outre la réalisation d’études spécifiques sur les accidents de la route.
Les autres intervenants ont mis l’accent sur l’importance de mettre en place des mécanismes juridiques efficaces et efficients tout en intensifiant la sensibilisation dans le but de réduire le nombre d'accidents de la route.
Ils ont aussi fait remarquer que la cité ocre accueille plusieurs manifestations internationales et se caractérise par une hausse du nombre de motos, ce qui requiert le renforcement des infrastructures de la ville en veillant à consacrer des voies dédiées aux motards et une gestion rigoureuse de la circulation.
Les intervenants ont également mis en exergue le rôle important de la société civile dans le cadre de la sensibilisation et la consécration de la culture de prévention notamment au sein des établissements scolaires.
