Initiée par l'Association Maroc Parkinson, cette rencontre a rassemblé des membres de ladite association, des patients et leurs familles, ainsi que des médecins résidents et spécialistes, outre des étudiants de la Faculté de médecine et de pharmacie relevant de l'Université Cadi Ayyad (UCA).
Ce rendez-vous a servi aussi d'occasion pour la présentation du bilan annuel de cette association, avec un focus sur ses aspirations à l'avenir, afin de tirer vers le haut la qualité de ses prestations en termes de traitement ou encore, celles à vocation sociale.
Dans une allocution, le Chef de service des maladies du Système nerveux au CHU Mohammed VI, Najib El Kissani, a fait savoir que la célébration de cette journée constitue une occasion idoine pour faire connaitre davantage cette maladie, et de s'arrêter sur les opportunités offertes en matière de traitement.
Il s'agit, en outre, d'une occasion pour mettre en lumière le niveau de formation des médecins opérant dans ce domaine et par là, renforcer la prise de conscience sur l'importance du diagnostic, afin d'obtenir de meilleurs résultats en matière de traitement et de suivi, tout en évitant les complications graves liées à cette maladie, a-t-il poursuivi.
Et de préciser que "cette pathologie est due à une intoxication aux métaux lourds, à l'instar du manganèse, du fer ou encore du zinc entre autres", estimant que "le nombre de cas atteints du Parkinson au Maroc peut être évalué à quelque 150.000".
"En l'absence de statistiques précises dans ce domaine, on trouve que cette maladie représente plus de 12% des patients qu'accueillent les services hospitaliers du CHU Mohammed VI", a-t-il fait savoir.
De son côté, M. Mohamed Akli, président de l'Association Maroc Parkinson, a mis l'accent sur la gravité de cette maladie chronique, à même de rendre plus compliquée, d'un point de vue social et économique, la situation du patient et de sa famille. Et de poursuivre que l'association plaide en faveur de l'insertion des malades atteints du Parkinson sur la liste des personnes en situation de handicap pour être régis par les dispositions de la loi n° 97.13 relative à la protection et à la promotion des droits des personnes en situation de handicap.
Quant aux autres intervenants, ils ont été unanimes à mettre en avant l'ensemble des efforts inlassables menés par l'Association Maroc Parkinson et ses partenaires, afin de permettre aux patients de bénéficier de soins de haute qualité, ainsi que d'un accompagnement idoine en ce qui concerne les nouveautés liées à cette maladie.
L'accent a été mis, de même, sur les nouveautés en matière de traitements médicamenteux offerts au Maroc, et ceux non encore disponibles, avec un accent mis sur les médicaments génériques à bas prix, ainsi que sur la chirurgie qui a connu une évolution remarquable, grâce au recours à des techniques ultramodernes, outre le traitement via la médecine alternative.
Créée en 2005, l'Association Maroc Parkinson ambitionne de créer des antennes dans les différentes régions du Royaume, de se doter d'un site internet dédié et d'un autre consacré au journal "Parkinson News", outre l'établissement de partenariats avec l'hôpital Errazi et le conseil communal, et l'ouverture sur les organisations internationales spécialisées dans ce domaine.
Ce rendez-vous a servi aussi d'occasion pour la présentation du bilan annuel de cette association, avec un focus sur ses aspirations à l'avenir, afin de tirer vers le haut la qualité de ses prestations en termes de traitement ou encore, celles à vocation sociale.
Dans une allocution, le Chef de service des maladies du Système nerveux au CHU Mohammed VI, Najib El Kissani, a fait savoir que la célébration de cette journée constitue une occasion idoine pour faire connaitre davantage cette maladie, et de s'arrêter sur les opportunités offertes en matière de traitement.
Il s'agit, en outre, d'une occasion pour mettre en lumière le niveau de formation des médecins opérant dans ce domaine et par là, renforcer la prise de conscience sur l'importance du diagnostic, afin d'obtenir de meilleurs résultats en matière de traitement et de suivi, tout en évitant les complications graves liées à cette maladie, a-t-il poursuivi.
Et de préciser que "cette pathologie est due à une intoxication aux métaux lourds, à l'instar du manganèse, du fer ou encore du zinc entre autres", estimant que "le nombre de cas atteints du Parkinson au Maroc peut être évalué à quelque 150.000".
"En l'absence de statistiques précises dans ce domaine, on trouve que cette maladie représente plus de 12% des patients qu'accueillent les services hospitaliers du CHU Mohammed VI", a-t-il fait savoir.
De son côté, M. Mohamed Akli, président de l'Association Maroc Parkinson, a mis l'accent sur la gravité de cette maladie chronique, à même de rendre plus compliquée, d'un point de vue social et économique, la situation du patient et de sa famille. Et de poursuivre que l'association plaide en faveur de l'insertion des malades atteints du Parkinson sur la liste des personnes en situation de handicap pour être régis par les dispositions de la loi n° 97.13 relative à la protection et à la promotion des droits des personnes en situation de handicap.
Quant aux autres intervenants, ils ont été unanimes à mettre en avant l'ensemble des efforts inlassables menés par l'Association Maroc Parkinson et ses partenaires, afin de permettre aux patients de bénéficier de soins de haute qualité, ainsi que d'un accompagnement idoine en ce qui concerne les nouveautés liées à cette maladie.
L'accent a été mis, de même, sur les nouveautés en matière de traitements médicamenteux offerts au Maroc, et ceux non encore disponibles, avec un accent mis sur les médicaments génériques à bas prix, ainsi que sur la chirurgie qui a connu une évolution remarquable, grâce au recours à des techniques ultramodernes, outre le traitement via la médecine alternative.
Créée en 2005, l'Association Maroc Parkinson ambitionne de créer des antennes dans les différentes régions du Royaume, de se doter d'un site internet dédié et d'un autre consacré au journal "Parkinson News", outre l'établissement de partenariats avec l'hôpital Errazi et le conseil communal, et l'ouverture sur les organisations internationales spécialisées dans ce domaine.
