Le Congrès a constitué un espace pour mettre en relief le rôle des organisations partisanes et des structures parallèles, notamment de la jeunesse, et leur impact en termes de promotion de la pratique politique et de l'action partisane. Il visait à jeter des passerelles et à établir des liens entre les jeunes représentant les cinq Continents avec leurs homologues marocains, à travers l'échange d'expériences et d'idées autour de diverses questions, en s'inspirant des meilleures pratiques au service des objectifs fixés par l’Union internationale des jeunes démocrates.
A cette occasion, le président de la Chambre des Conseillers, Enaam Mayara, a rappelé le contexte dans lequel intervient ce Congrès, dont les travaux seront sanctionnés par des recommandations à même de renforcer les liens entre les organisations de la jeunesse à travers le monde, se félicitant du choix porté sur la Cité ocre pour abriter ce congrès afin de débattre de la jeunesse et de la démocratie, et de mettre en lumière le rôle de la première génération de la jeunesse marocaine dans le recouvrement de la liberté et de l'indépendance. Il a souligné, dans ce sens, le rôle de la jeunesse partisane, à l’instar de celle du Parti de l’Istiqlal (PI), dans l'amélioration de la pratique et de la participation politiques. Dans ce sillage il a cité le rôle de la Monarchie dans le développement de la démocratie et la promotion des conditions de la jeunesse, passant en revue les mécanismes institutionnels garantis par la Constitution et visant à renforcer la représentativité des jeunes, tels que le Conseil Consultatif de la Jeunesse et de l’Action Associative en tant qu’institution capable de répondre aux aspirations de la jeunesse marocaine conformément aux dispositions de la Loi fondamentale.
Il a, d’autre part, relevé que le PI accorde un intérêt particulier aux structures parallèles, telles que les organisations des femmes et de la jeunesse, soulignant que l'implication des jeunes et le renforcement de leur représentativité au sein des instances élues est susceptible de consolider la démocratie.
De son côté, le secrétaire général de la Jeunesse Istiqlalienne, Othmane Tarmounia a fait savoir que ce Congrès rassemble les organisations de la jeunesse des partis du centre droit dans le monde, dont le nombre s’élève à 127 représentant 81 pays, passant en revue la chronologie de la création de cette instance dans sa formule actuelle en 1991. Et après avoir noté que la jeunesse istiqlalienne, qui a rejoint cette instance internationale en 2009, est la première organisation arabe et africaine à accueillir ce congrès, il a rappelé que l’organisation du PI a également tenu de nombreux forums internationaux en étroite coordination avec la présidence de cette union, à l’instar des sessions 2012 et 2019 du Forum "liberté", respectivement à Rabat et à Marrakech.
Pour sa part, le président de l’Union internationale des jeunes démocrates, Michael Dust, a indiqué que la période de la pandémie de la Covid-19 a été l’occasion pour la restructuration de cette organisation, tout en saluant le partenariat entre l’Union et le Parti de l’Istiqlal, à travers la jeunesse istiqlalienne. Il a saisi l’occasion pour passer en revue l’action et les principales activités organisées par l’Union avec le concours des différents partenaires.
Quant à la députée du PI, Marwa El Ansari, également vice-présidente de l’Union, elle a souligné que l’ouverture sur le monde n'est pas chose nouvelle, mais demeure au cœur de la direction du PI, précisant que cette organisation internationale œuvre depuis des décennies pour la promotion des valeurs du partage, de tolérance et de respect, afin de contribuer à leur transmission aux générations futures.
Ce congrès a été ponctué par la projection de capsules-vidéos institutionnelles mettant en lumière les réalisations importantes accomplies par le Royaume dans les domaines économique, social et culturel.
A cette occasion, le président de la Chambre des Conseillers, Enaam Mayara, a rappelé le contexte dans lequel intervient ce Congrès, dont les travaux seront sanctionnés par des recommandations à même de renforcer les liens entre les organisations de la jeunesse à travers le monde, se félicitant du choix porté sur la Cité ocre pour abriter ce congrès afin de débattre de la jeunesse et de la démocratie, et de mettre en lumière le rôle de la première génération de la jeunesse marocaine dans le recouvrement de la liberté et de l'indépendance. Il a souligné, dans ce sens, le rôle de la jeunesse partisane, à l’instar de celle du Parti de l’Istiqlal (PI), dans l'amélioration de la pratique et de la participation politiques. Dans ce sillage il a cité le rôle de la Monarchie dans le développement de la démocratie et la promotion des conditions de la jeunesse, passant en revue les mécanismes institutionnels garantis par la Constitution et visant à renforcer la représentativité des jeunes, tels que le Conseil Consultatif de la Jeunesse et de l’Action Associative en tant qu’institution capable de répondre aux aspirations de la jeunesse marocaine conformément aux dispositions de la Loi fondamentale.
Il a, d’autre part, relevé que le PI accorde un intérêt particulier aux structures parallèles, telles que les organisations des femmes et de la jeunesse, soulignant que l'implication des jeunes et le renforcement de leur représentativité au sein des instances élues est susceptible de consolider la démocratie.
De son côté, le secrétaire général de la Jeunesse Istiqlalienne, Othmane Tarmounia a fait savoir que ce Congrès rassemble les organisations de la jeunesse des partis du centre droit dans le monde, dont le nombre s’élève à 127 représentant 81 pays, passant en revue la chronologie de la création de cette instance dans sa formule actuelle en 1991. Et après avoir noté que la jeunesse istiqlalienne, qui a rejoint cette instance internationale en 2009, est la première organisation arabe et africaine à accueillir ce congrès, il a rappelé que l’organisation du PI a également tenu de nombreux forums internationaux en étroite coordination avec la présidence de cette union, à l’instar des sessions 2012 et 2019 du Forum "liberté", respectivement à Rabat et à Marrakech.
Pour sa part, le président de l’Union internationale des jeunes démocrates, Michael Dust, a indiqué que la période de la pandémie de la Covid-19 a été l’occasion pour la restructuration de cette organisation, tout en saluant le partenariat entre l’Union et le Parti de l’Istiqlal, à travers la jeunesse istiqlalienne. Il a saisi l’occasion pour passer en revue l’action et les principales activités organisées par l’Union avec le concours des différents partenaires.
Quant à la députée du PI, Marwa El Ansari, également vice-présidente de l’Union, elle a souligné que l’ouverture sur le monde n'est pas chose nouvelle, mais demeure au cœur de la direction du PI, précisant que cette organisation internationale œuvre depuis des décennies pour la promotion des valeurs du partage, de tolérance et de respect, afin de contribuer à leur transmission aux générations futures.
Ce congrès a été ponctué par la projection de capsules-vidéos institutionnelles mettant en lumière les réalisations importantes accomplies par le Royaume dans les domaines économique, social et culturel.
