Lors d'une rencontre avec une délégation du National Liberal Club du Royaume-Uni, conduite par Lord Monroe Palmer, M. Mayara s'est félicité de la qualité des relations politiques unissant les deux pays amis, fondées sur les valeurs du respect, de l'entente et de la coopération, faisant part de la disposition de la Chambre à contribuer au renforcement des relations bilatérales, indique un communiqué de la Chambre des conseillers.
Il a, dans ce sens, exprimé ses remerciements au Royaume-Uni pour sa contribution aux efforts de recherche et de secours en faveur des victimes du séisme qui a secoué récemment la région d'Al Haouz, poursuit la même source, notant que M. Mayara a également donné un aperçu sur l'action de la Chambre des conseillers, sa composition, ses prérogatives, ainsi que son rôle dans le débat public.
M. Mayara a par ailleurs évoqué certaines questions liées aux menaces sécuritaires dans la région sahélo-saharienne, notamment avec la prolifération de groupes armés et de réseaux criminels en lien avec le front "polisario", ajoute le communiqué.
Dans ce sillage, le président de la Chambre des conseillers a relevé que le conflit artificiel autour du Sahara marocain entrave le processus de développement dans la région du Maghreb pendant plus de quatre décennies, mettant l'accent sur l'importance de l'initiative marocaine d'autonomie, en tant que seule et unique solution pour mettre fin à ce différend régional.
A cet égard, M. Mayara a rappelé les positions de soutien exprimées par de nombreux pays européens, en plus de la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara.
Pour sa part, Lord Monroe Palmer s'est dit satisfait de cette visite qui s'inscrit dans le cadre des relations historiques entre les deux Royaumes amis, saluant à cet égard le niveau de développement que connait le Maroc dans divers domaines, ce qui en fait un modèle à suivre dans le continent africain.
Après avoir passé en revue certaines spécificités de l'expérience parlementaire britannique, M. Palmer a appelé au renforcement des relations parlementaires existantes entre les deux institutions législatives, ainsi qu'à l'intensification de la coordination et de la concertation dans les fora régionaux et internationaux au service des questions d'intérêt commun.
Il a, dans ce sens, exprimé ses remerciements au Royaume-Uni pour sa contribution aux efforts de recherche et de secours en faveur des victimes du séisme qui a secoué récemment la région d'Al Haouz, poursuit la même source, notant que M. Mayara a également donné un aperçu sur l'action de la Chambre des conseillers, sa composition, ses prérogatives, ainsi que son rôle dans le débat public.
M. Mayara a par ailleurs évoqué certaines questions liées aux menaces sécuritaires dans la région sahélo-saharienne, notamment avec la prolifération de groupes armés et de réseaux criminels en lien avec le front "polisario", ajoute le communiqué.
Dans ce sillage, le président de la Chambre des conseillers a relevé que le conflit artificiel autour du Sahara marocain entrave le processus de développement dans la région du Maghreb pendant plus de quatre décennies, mettant l'accent sur l'importance de l'initiative marocaine d'autonomie, en tant que seule et unique solution pour mettre fin à ce différend régional.
A cet égard, M. Mayara a rappelé les positions de soutien exprimées par de nombreux pays européens, en plus de la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara.
Pour sa part, Lord Monroe Palmer s'est dit satisfait de cette visite qui s'inscrit dans le cadre des relations historiques entre les deux Royaumes amis, saluant à cet égard le niveau de développement que connait le Maroc dans divers domaines, ce qui en fait un modèle à suivre dans le continent africain.
Après avoir passé en revue certaines spécificités de l'expérience parlementaire britannique, M. Palmer a appelé au renforcement des relations parlementaires existantes entre les deux institutions législatives, ainsi qu'à l'intensification de la coordination et de la concertation dans les fora régionaux et internationaux au service des questions d'intérêt commun.
