La sélection nationale de football aborde le match de quart de finale de la Coupe du monde, ce samedi, dans d’excellentes dispositions, vu le parcours excellent qu’elle a réalisé jusqu’à présent : deux victoires et un nul en phase de groupes, et une victoire contre une grosse pointure, l’Espagne, en huitième.
C’est dire que le moral des Lions de l’Atlas est gonflé à bloc d’autant qu’ils ont un public bicolore mais aussi cosmopolite entièrement acquis à leur cause.
Atteindre ce stade de la compétition n’était pas une mince affaire, et le Onze national a incontestablement réalisé un exploit titanesque. Maintenant que cet exploit, jamais égalé dans les annales du football national et arabe, est réalisé, immortalisant le nom du Maroc parmi les huit plus grandes nations footballistiques du globe, le public national s’en trouve assurément comblé par ce haut fait footballistique qui dénote que le coach Regragui et ses poulains ont largement rempli leur contrat et satisfait amplement les attentes des supporters nationaux et des sympathisants partout dans le monde. Un résultat hautement atteint grâce au savoir-faire et à l’intelligence conjuguée à l’instinct de bon aloi d’un sélectionneur à la fibre patriotique jusqu’à la moelle.
Assurément, à la faveur de ses excellents résultats, le Onze national est porté par une dynamique vertueuse car tout exploit en appelle un autre. Désormais, la confiance en soi dûment installée, il est permis d’aspirer légitimement à un rang plus élevé dans la hiérarchie footballistique mondiale.
Bien sûr, le Portugal est auréolé d’une réputation d’équipe redoutable qui pratique un football châtié. Néanmoins, il n’en a pas moins cumulé bon nombre de déceptions durant son parcours, dont sa fameuse déconvenue devant le Maroc au Mondial du Mexique en 1986 (3-1).
Cette équipe, au Qatar 2022, a commis un faux-pas en s’inclinant devant la Corée du Sud, mais elle a quand même glané six points au premier tour et battu à plate couture la formation helvétique en huitième (6-1).
Pourvu qu’on puisse continuer à opérer comme nous l’avons fait jusqu’à présent avec le même esprit d’équipe, les choses iront de meilleure façon. Seule ombre au tableau, les séquelles qu’auraient laissées les prolongations contre une équipe ibérique qui a fait plus d’un millier de passes. Cela va laisser des traces. C’est sur ce chapitre qu’il va falloir travailler.
Quel que soit le résultat du match de samedi, les Lions de l’Atlas en sortiront hautement grandis.
C’est dire que le moral des Lions de l’Atlas est gonflé à bloc d’autant qu’ils ont un public bicolore mais aussi cosmopolite entièrement acquis à leur cause.
Atteindre ce stade de la compétition n’était pas une mince affaire, et le Onze national a incontestablement réalisé un exploit titanesque. Maintenant que cet exploit, jamais égalé dans les annales du football national et arabe, est réalisé, immortalisant le nom du Maroc parmi les huit plus grandes nations footballistiques du globe, le public national s’en trouve assurément comblé par ce haut fait footballistique qui dénote que le coach Regragui et ses poulains ont largement rempli leur contrat et satisfait amplement les attentes des supporters nationaux et des sympathisants partout dans le monde. Un résultat hautement atteint grâce au savoir-faire et à l’intelligence conjuguée à l’instinct de bon aloi d’un sélectionneur à la fibre patriotique jusqu’à la moelle.
Assurément, à la faveur de ses excellents résultats, le Onze national est porté par une dynamique vertueuse car tout exploit en appelle un autre. Désormais, la confiance en soi dûment installée, il est permis d’aspirer légitimement à un rang plus élevé dans la hiérarchie footballistique mondiale.
Bien sûr, le Portugal est auréolé d’une réputation d’équipe redoutable qui pratique un football châtié. Néanmoins, il n’en a pas moins cumulé bon nombre de déceptions durant son parcours, dont sa fameuse déconvenue devant le Maroc au Mondial du Mexique en 1986 (3-1).
Cette équipe, au Qatar 2022, a commis un faux-pas en s’inclinant devant la Corée du Sud, mais elle a quand même glané six points au premier tour et battu à plate couture la formation helvétique en huitième (6-1).
Pourvu qu’on puisse continuer à opérer comme nous l’avons fait jusqu’à présent avec le même esprit d’équipe, les choses iront de meilleure façon. Seule ombre au tableau, les séquelles qu’auraient laissées les prolongations contre une équipe ibérique qui a fait plus d’un millier de passes. Cela va laisser des traces. C’est sur ce chapitre qu’il va falloir travailler.
Quel que soit le résultat du match de samedi, les Lions de l’Atlas en sortiront hautement grandis.
Hamid YAHYA