À la suite de la performance de la Mauritanie à la CAN, des scènes de liesse et de célébrations ont eu lieu dans plusieurs villes du Royaume, réunissant des Marocains et la communauté mauritanienne. C’est que, plus que la géographie, une véritable proximité historique et culturelle lie les deux peuples. Les mêmes tribus, et parfois les mêmes familles, se trouvent des deux côtés de la frontière.
Pourtant, de basses manœuvres orchestrées par Alger ont inlassablement tenté de créer des tensions entre le Royaume chérifien et Bilad Chinguit. Tout d’abord, à travers le terrorisme du Polisario, qui a affecté à la fois la Mauritanie et le Maroc. Plus récemment, en essayant en vain d’amadouer les dirigeants mauritaniens ou en attisant l’opinion publique mauritanienne contre le Maroc. Mais les relations fraternelles et les intérêts partagés triomphent toujours. C’est dans ce cadre que s’inscrit la récente visite du ministre mauritanien des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Marzouk, à Rabat, pour rencontrer son homologue Nasser Bourita. Le dialogue entre responsables marocains et mauritaniens est régulier et intense, et les champs de coopération sont importants.
Le dossier sécuritaire est évidemment prioritaire, puisque la collaboration mauritanienne est primordiale pour sécuriser nos frontières du Sud. Mais, fidèle à sa ligne de coopération Sud-Sud et de prospérité partagée, Rabat offre à Nouakchott un véritable projet économique intégré. D’abord à travers l’Initiative Royale d’accès du Sahel à la Façade Atlantique, dont la Mauritanie est un partenaire clé. Mais plus globalement, à travers le projet du futur port de Dakhla, et de toutes les routes et les zones industrielles qui lui seront connectées, ce qu’on appelle le « hinterland », et qui ne seront pas seulement localisés au Sud du Maroc, mais également en Mauritanie et dans toute la région sahélo-saharienne.
Pourtant, de basses manœuvres orchestrées par Alger ont inlassablement tenté de créer des tensions entre le Royaume chérifien et Bilad Chinguit. Tout d’abord, à travers le terrorisme du Polisario, qui a affecté à la fois la Mauritanie et le Maroc. Plus récemment, en essayant en vain d’amadouer les dirigeants mauritaniens ou en attisant l’opinion publique mauritanienne contre le Maroc. Mais les relations fraternelles et les intérêts partagés triomphent toujours. C’est dans ce cadre que s’inscrit la récente visite du ministre mauritanien des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Marzouk, à Rabat, pour rencontrer son homologue Nasser Bourita. Le dialogue entre responsables marocains et mauritaniens est régulier et intense, et les champs de coopération sont importants.
Le dossier sécuritaire est évidemment prioritaire, puisque la collaboration mauritanienne est primordiale pour sécuriser nos frontières du Sud. Mais, fidèle à sa ligne de coopération Sud-Sud et de prospérité partagée, Rabat offre à Nouakchott un véritable projet économique intégré. D’abord à travers l’Initiative Royale d’accès du Sahel à la Façade Atlantique, dont la Mauritanie est un partenaire clé. Mais plus globalement, à travers le projet du futur port de Dakhla, et de toutes les routes et les zones industrielles qui lui seront connectées, ce qu’on appelle le « hinterland », et qui ne seront pas seulement localisés au Sud du Maroc, mais également en Mauritanie et dans toute la région sahélo-saharienne.
