Jacob Zuma, ex-président sud-africain, à Rabat.
Tapis rouge, point de presse, rencontres avec des officiels de haut rang… Rabat n’a pas lésiné sur les moyens pour recevoir, le 15 juillet dernier, Jacob Zuma, président du Umkhonto we Sizwe, parti d’opposition à l’Assemblée nationale de Pretoria.
Venu a cher ouvertement son soutien à la proposition marocaine d’autonomie, l’ancien président sud-africain a salué une initiative qui, selon lui, permettra « une gouvernance locale significative par les populations de la région du Sahara ». Si sa position n’engage pour l’instant que son parti, elle ouvre néanmoins la voie à une possible évolution de la perception du con it du Sahara en Afrique du Sud, où l’ANC traverse sa crise politique la plus grave depuis 1994, date des premières élections législatives tenues après la fin de l’apartheid. Décryptage.
Venu a cher ouvertement son soutien à la proposition marocaine d’autonomie, l’ancien président sud-africain a salué une initiative qui, selon lui, permettra « une gouvernance locale significative par les populations de la région du Sahara ». Si sa position n’engage pour l’instant que son parti, elle ouvre néanmoins la voie à une possible évolution de la perception du con it du Sahara en Afrique du Sud, où l’ANC traverse sa crise politique la plus grave depuis 1994, date des premières élections législatives tenues après la fin de l’apartheid. Décryptage.
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