Intervenant mardi au Parlement lors de la présentation du budget sectoriel de son département, la ministre a démenti les rumeurs faisant état de l’octroi par le gouvernement d’un soutien financier direct aux futurs mariés. “Ce n’est pas vrai, le gouvernement ne prévoit pas d'octroyer une telle aide”, a-t-elle fait savoir.
Elle a expliqué qu’il s’agit plutôt du lancement d’un débat public national visant à élaborer une vision commune d’une politique publique de préparation au mariage et d’accompagnement des futurs mariés dans la vie de couple, en vue de freiner la progression du divorce.
Cette politique intervient conformément aux recommandations de la commission chargée de la révision du Code de la famille. Elle se traduira, selon elle, d’une part, par des programmes pour faciliter l’accès au logement, à l’emploi et aux opportunités économiques, et d’autre part, par des modules de formation et de sensibilisation en présentiel et en ligne au profit des futurs mariés afin de renforcer la stabilité et la cohésion de la famille marocaine et de freiner la progression des cas de divorce.
À ce jour, le Maroc compte 55 espaces familiaux, conçus comme des guichets uniques offrant divers services liés à l’éducation parentale, à la préparation au mariage et des crèches sociales pour accueillir les enfants de 3 mois à 4 ans. Ces structures ont été développées à travers un investissement de 20,17 millions de dirhams.
En plus de la préparation de guides pratiques et de formations numérisées accessibles sur une plateforme électronique dédiée, le ministère a soutenu en 2023 un total de 38 associations œuvrant dans le domaine de l’éducation parentale, pour un montant total de 7,005 millions de dirhams. De plus, un programme de formation des formateurs en parentalité a été lancé, touchant 141 participants à travers différentes régions.
Elle a expliqué qu’il s’agit plutôt du lancement d’un débat public national visant à élaborer une vision commune d’une politique publique de préparation au mariage et d’accompagnement des futurs mariés dans la vie de couple, en vue de freiner la progression du divorce.
Cette politique intervient conformément aux recommandations de la commission chargée de la révision du Code de la famille. Elle se traduira, selon elle, d’une part, par des programmes pour faciliter l’accès au logement, à l’emploi et aux opportunités économiques, et d’autre part, par des modules de formation et de sensibilisation en présentiel et en ligne au profit des futurs mariés afin de renforcer la stabilité et la cohésion de la famille marocaine et de freiner la progression des cas de divorce.
À ce jour, le Maroc compte 55 espaces familiaux, conçus comme des guichets uniques offrant divers services liés à l’éducation parentale, à la préparation au mariage et des crèches sociales pour accueillir les enfants de 3 mois à 4 ans. Ces structures ont été développées à travers un investissement de 20,17 millions de dirhams.
En plus de la préparation de guides pratiques et de formations numérisées accessibles sur une plateforme électronique dédiée, le ministère a soutenu en 2023 un total de 38 associations œuvrant dans le domaine de l’éducation parentale, pour un montant total de 7,005 millions de dirhams. De plus, un programme de formation des formateurs en parentalité a été lancé, touchant 141 participants à travers différentes régions.



















