"Les rapports fournis par les services concernés, qui suivent quotidiennement la situation des marchés, ont révélé que ceux-ci sont bien approvisionnés et offrent une abondance et une variété de produits de consommation pendant les deux premières semaines de ce mois sacré, le niveau du stock disponible de produits de base couvrant les besoins nationaux pour plusieurs mois", indique la Direction de la Concurrence, des prix et de la compensation dans un communiqué sur la 3ème réunion de cette commission durant ce mois sacré.
En ce qui concerne l'évolution des prix au cours de cette période, des variations diverses ont été observées selon les produits, fait savoir la même source, notant qu'à la fin de la deuxième semaine du Ramadan, il a été constaté le début d'une tendance baissière des prix pour certains produits tels que les épices et les légumineuses, en raison du retour de la demande en ces produits à des niveaux normaux après l'afflux important observé au début du mois de Ramadan, ce qui exerce parfois une pression sur les prix.
Dans le même contexte, les prix de la viande blanche, du poisson et de certains types de fruits ont continué à baisser, atteignant jusqu'à 8%.
Pour ce qui est des autres produits tels que la farine et ses dérivés, les huiles de table et le beurre, leurs prix sont restés stables à court terme et demeurent largement plus bas que les prix en vigueur à la même période de l'année dernière. Cette situation est due au repli des prix internationaux de ces produits, dont une grande partie est importée pour répondre aux besoins nationaux, ainsi qu'aux mesures prises par le gouvernement à cet égard.
Parallèlement, des hausses ont été enregistrées au cours de la deuxième semaine du Ramadan pour certains légumes, après les importantes baisses observées pour ces produits durant les semaines écoulées, en particulier les prix des tomates qui ont augmenté de manière significative.
Ainsi, le prix moyen national, qui inclut différents points de vente dans plusieurs régions, est passé de 5 dirhams par kilogramme (DH/KG) au début du Ramadan à 8,5 DH/KG à la fin de la première moitié, avec des niveaux dépassant les 10 dirhams dans certains marchés.
En outre, ladite commission fait remarquer que les prix des légumes connaissent généralement des fluctuations saisonnières liées à plusieurs facteurs interdépendants, notamment la demande croissante, la périodicité de la récolte et les conditions climatiques.
Malgré ces hausses relatives, les prix des légumes restent bas par rapport aux prix pratiqués pendant le Ramadan précédent, relève la même source.
En ce qui concerne les prix des carburants, ils sont stables et n'ont enregistré aucune augmentation au cours des semaines précédentes, en particulier le gaz butane, dont les prix sont subventionnés par le fonds de compensation.
Cette commission s'est réunie sous la présidence du ministère de l'Economie et des finances, en présence de représentants des départements ministériels chargés de l'Intérieur, de l'Agriculture et de la Pêche maritime, de l'Industrie et du Commerce, de la Transition énergétique et des établissements publics concernés.
En ce qui concerne l'évolution des prix au cours de cette période, des variations diverses ont été observées selon les produits, fait savoir la même source, notant qu'à la fin de la deuxième semaine du Ramadan, il a été constaté le début d'une tendance baissière des prix pour certains produits tels que les épices et les légumineuses, en raison du retour de la demande en ces produits à des niveaux normaux après l'afflux important observé au début du mois de Ramadan, ce qui exerce parfois une pression sur les prix.
Dans le même contexte, les prix de la viande blanche, du poisson et de certains types de fruits ont continué à baisser, atteignant jusqu'à 8%.
Pour ce qui est des autres produits tels que la farine et ses dérivés, les huiles de table et le beurre, leurs prix sont restés stables à court terme et demeurent largement plus bas que les prix en vigueur à la même période de l'année dernière. Cette situation est due au repli des prix internationaux de ces produits, dont une grande partie est importée pour répondre aux besoins nationaux, ainsi qu'aux mesures prises par le gouvernement à cet égard.
Parallèlement, des hausses ont été enregistrées au cours de la deuxième semaine du Ramadan pour certains légumes, après les importantes baisses observées pour ces produits durant les semaines écoulées, en particulier les prix des tomates qui ont augmenté de manière significative.
Ainsi, le prix moyen national, qui inclut différents points de vente dans plusieurs régions, est passé de 5 dirhams par kilogramme (DH/KG) au début du Ramadan à 8,5 DH/KG à la fin de la première moitié, avec des niveaux dépassant les 10 dirhams dans certains marchés.
En outre, ladite commission fait remarquer que les prix des légumes connaissent généralement des fluctuations saisonnières liées à plusieurs facteurs interdépendants, notamment la demande croissante, la périodicité de la récolte et les conditions climatiques.
Malgré ces hausses relatives, les prix des légumes restent bas par rapport aux prix pratiqués pendant le Ramadan précédent, relève la même source.
En ce qui concerne les prix des carburants, ils sont stables et n'ont enregistré aucune augmentation au cours des semaines précédentes, en particulier le gaz butane, dont les prix sont subventionnés par le fonds de compensation.
Cette commission s'est réunie sous la présidence du ministère de l'Economie et des finances, en présence de représentants des départements ministériels chargés de l'Intérieur, de l'Agriculture et de la Pêche maritime, de l'Industrie et du Commerce, de la Transition énergétique et des établissements publics concernés.