Sur ces 968 millions d'euros, 620 millions, soit les trois quarts, proviennent du numérique (streaming) contre 195 pour le physique (CD, vinyle), le reste relevant de la synchronisation (films, séries, publicités, jeux vidéos, etc.) et des droits voisins, précise le Snep dans un communiqué.
Derrière ce "constat satisfaisant", le syndicat observe un revenu qui atteint tout juste 53% du niveau historique de 2002, soulignant que la croissance numérique est en retard en France, comparée au Top 10 des marchés mondiaux.
"La progression de 10% des revenus du streaming par abonnement reste trop faible pour nourrir pleinement le développement du marché, alors que c'est la première source de création de valeur", relève-t-on.
D'après le Snep, la France recense 12 millions d'abonnements, avec tout juste un million d'unités (de plus) chaque année depuis trois ans, soit un taux de pénétration de 16% pour l'abonnement payant, "un des plus faibles" parmi les principaux marchés dans le monde.
Derrière ce "constat satisfaisant", le syndicat observe un revenu qui atteint tout juste 53% du niveau historique de 2002, soulignant que la croissance numérique est en retard en France, comparée au Top 10 des marchés mondiaux.
"La progression de 10% des revenus du streaming par abonnement reste trop faible pour nourrir pleinement le développement du marché, alors que c'est la première source de création de valeur", relève-t-on.
D'après le Snep, la France recense 12 millions d'abonnements, avec tout juste un million d'unités (de plus) chaque année depuis trois ans, soit un taux de pénétration de 16% pour l'abonnement payant, "un des plus faibles" parmi les principaux marchés dans le monde.
