Après avoir découvert un objet suspect, la direction de l'établissement a immédiatement prévenu la police tout en plaçant les élèves dans un endroit sûr sur le parking à l'extérieur de l'école et dans les installations sportives à l'intérieur de Descartes, selon plusieurs sources médiatiques.
Une fois sur place, aucun engin explosif n’a été détecté. Les policiers ont indiqué, après enquête, que l'objet en question était factice. Il s'agit de bouteilles d'alcool entourées de fils électriques, dans un sac, pour leur faire croire à une bombe. Vers 8 h 30, l'administration a commencé à ramener les élèves en classe.
Environs 9 heures du matin, une lettre de l'école a finalement été envoyée aux parents d'élèves les informant de la nature de l'alerte qui s'est avérée être fausse.
Pour identifier les auteurs du canular inquiétant, et déterminer les circonstances et les motivations derrière ce comportement, une enquête approfondie a été ouverte sous la supervision du parquet compétent, accompagnée des révisions techniques des enregistrements des caméras de surveillance installées près du lieu en question, indique la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué publié ce lundi.
Une fois sur place, aucun engin explosif n’a été détecté. Les policiers ont indiqué, après enquête, que l'objet en question était factice. Il s'agit de bouteilles d'alcool entourées de fils électriques, dans un sac, pour leur faire croire à une bombe. Vers 8 h 30, l'administration a commencé à ramener les élèves en classe.
Environs 9 heures du matin, une lettre de l'école a finalement été envoyée aux parents d'élèves les informant de la nature de l'alerte qui s'est avérée être fausse.
Pour identifier les auteurs du canular inquiétant, et déterminer les circonstances et les motivations derrière ce comportement, une enquête approfondie a été ouverte sous la supervision du parquet compétent, accompagnée des révisions techniques des enregistrements des caméras de surveillance installées près du lieu en question, indique la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué publié ce lundi.
