Dévoilé lors d'une séance à la Chambre des Conseillers ce mardi, un plan d'investissement massif a été révélé par Mohammed Abdeljalil pour étendre et moderniser le réseau ferroviaire du pays. Cette initiative audacieuse vise à relier les principales villes, aéroports et ports, avec pour objectif de transformer considérablement le paysage des transports dans le Royaume.
Au cœur de cette initiative, la mise en place de nouvelles liaisons ferroviaires, notamment la connexion d'Agadir aux provinces du Sud, qui promet de révolutionner les déplacements régionaux. L'Office National des Chemins de Fer (ONCF) a déjà entrepris des études préliminaires pour tracer les itinéraires et évaluer les coûts associés à ces projets. Avec un investissement financier estimé à plus de 400 milliards de dirhams, ce plan ambitieux vise à étendre le réseau ferroviaire national pour couvrir plus de villes et à accroître la part de la population desservie par le transport ferroviaire.
Les objectifs sont clairs : construire 1.300 kilomètres de nouvelles lignes à grande vitesse et 3.800 kilomètres de lignes classiques pour relier un total de 43 villes marocaines. Cette expansion permettra de porter la couverture du transport ferroviaire à 87 % de la population, contre 51 % actuellement.
L'axe atlantique, reliant Tanger à Agadir, et l'axe maghrébin, de Casablanca à Oujda en passant par Fès, seront au cœur de cette nouvelle ère de connectivité. En plus de ces corridors principaux, le plan comprend également des projets pour relier 14 ports et 12 aéroports au réseau ferroviaire, renforçant ainsi les capacités logistiques du pays.
Mais ce n'est pas tout. Des initiatives sont également prévues pour étendre le réseau ferroviaire vers des villes non desservies et pour améliorer l'efficacité et la fiabilité des infrastructures existantes. En outre, des projets de liaison ferroviaire pour les nouveaux ports sont envisagés, dans le but de stimuler le développement économique dans les secteurs portuaire et industriel.
Parmi les projets les plus attendus figure la construction d'une ligne ferroviaire à grande vitesse entre Marrakech et Agadir, qui réduira considérablement les temps de trajet dans le Sud du pays. Cette initiative souligne l'engagement du Maroc envers le développement durable, l'efficacité des transports et la croissance économique régionale.
En résumé, cette nouvelle vague d'investissements dans les infrastructures ferroviaires ouvre la voie à un avenir où le Maroc est plus connecté, plus accessible et plus prospère que jamais auparavant.
Au cœur de cette initiative, la mise en place de nouvelles liaisons ferroviaires, notamment la connexion d'Agadir aux provinces du Sud, qui promet de révolutionner les déplacements régionaux. L'Office National des Chemins de Fer (ONCF) a déjà entrepris des études préliminaires pour tracer les itinéraires et évaluer les coûts associés à ces projets. Avec un investissement financier estimé à plus de 400 milliards de dirhams, ce plan ambitieux vise à étendre le réseau ferroviaire national pour couvrir plus de villes et à accroître la part de la population desservie par le transport ferroviaire.
Les objectifs sont clairs : construire 1.300 kilomètres de nouvelles lignes à grande vitesse et 3.800 kilomètres de lignes classiques pour relier un total de 43 villes marocaines. Cette expansion permettra de porter la couverture du transport ferroviaire à 87 % de la population, contre 51 % actuellement.
L'axe atlantique, reliant Tanger à Agadir, et l'axe maghrébin, de Casablanca à Oujda en passant par Fès, seront au cœur de cette nouvelle ère de connectivité. En plus de ces corridors principaux, le plan comprend également des projets pour relier 14 ports et 12 aéroports au réseau ferroviaire, renforçant ainsi les capacités logistiques du pays.
Mais ce n'est pas tout. Des initiatives sont également prévues pour étendre le réseau ferroviaire vers des villes non desservies et pour améliorer l'efficacité et la fiabilité des infrastructures existantes. En outre, des projets de liaison ferroviaire pour les nouveaux ports sont envisagés, dans le but de stimuler le développement économique dans les secteurs portuaire et industriel.
Parmi les projets les plus attendus figure la construction d'une ligne ferroviaire à grande vitesse entre Marrakech et Agadir, qui réduira considérablement les temps de trajet dans le Sud du pays. Cette initiative souligne l'engagement du Maroc envers le développement durable, l'efficacité des transports et la croissance économique régionale.
En résumé, cette nouvelle vague d'investissements dans les infrastructures ferroviaires ouvre la voie à un avenir où le Maroc est plus connecté, plus accessible et plus prospère que jamais auparavant.
Expansion aéroportuaire
Le ministre des Transports et de la Logistique, Mohamed Abdeljalil, a déclaré que son ministère cherchait à augmenter la capacité d'accueil des aéroports nationaux pour atteindre 80 millions de passagers, en accord avec la croissance du trafic aérien local et en se préparant aux défis futurs. Il a expliqué que cet objectif faisait partie des programmes visant à étendre le nombre d'aéroports.
Il a souligné que trois aéroports nationaux avaient atteint leur capacité maximale en 2019, mais que les plans d'expansion avaient été reportés en raison de la pandémie de Coronavirus.
Il a annoncé qu'un appel d'offres serait lancé pour l'expansion des aéroports d'Agadir, Marrakech et Tanger dans les prochaines semaines, en plus d'efforts intensifs pour accélérer les travaux d'extension de l'aéroport de Rabat.
Concernant l'aéroport de Marrakech, il a expliqué que les perturbations survenues ces dernières semaines étaient dues à une augmentation importante du nombre de visiteurs de 40 %, entraînant des retards à l'aéroport. Il a indiqué que les travaux d'urgence à l'aéroport contribuent à atténuer ce problème.
En reliant les principales villes, les aéroports et les ports à travers le pays, ces projets favoriseront une meilleure circulation des biens et des personnes, stimulant ainsi le développement économique à tous les niveaux.
Il a souligné que trois aéroports nationaux avaient atteint leur capacité maximale en 2019, mais que les plans d'expansion avaient été reportés en raison de la pandémie de Coronavirus.
Il a annoncé qu'un appel d'offres serait lancé pour l'expansion des aéroports d'Agadir, Marrakech et Tanger dans les prochaines semaines, en plus d'efforts intensifs pour accélérer les travaux d'extension de l'aéroport de Rabat.
Concernant l'aéroport de Marrakech, il a expliqué que les perturbations survenues ces dernières semaines étaient dues à une augmentation importante du nombre de visiteurs de 40 %, entraînant des retards à l'aéroport. Il a indiqué que les travaux d'urgence à l'aéroport contribuent à atténuer ce problème.
En reliant les principales villes, les aéroports et les ports à travers le pays, ces projets favoriseront une meilleure circulation des biens et des personnes, stimulant ainsi le développement économique à tous les niveaux.