La plage de Rabat occupe le peu enviable bas de classement parmi 61 autres plages citées dans le rapport. Le niveau et la nature des déchets collectés, lors des deux campagnes menées par le ministère, que ce soit sur les côtes méditerranéennes ou sur la façade Atlantique, ont révélé un cadre environnemental déplorable au niveau de la plage de Rabat, avec un taux de 4915 substances / 100 mètres, faites de bouchons et couvercles en plastique, mégots et filtres de cigarettes qui représentent plus de 70% des déchets collectés.
Quant à la façade méditerranéenne, la plage de Cabo Negro dans la préfecture de Mdiq-Fnideq, figure en queue du classement avec un taux de 3.705 objets pour chaque 100 mètres, où les mégots représentaient plus de 83%. En revanche, le taux le plus bas en de telles substances, enregistré au niveau de la façade atlantique, soit près de 120 substances/100 mètres, est à l’actif de la Plage de « Musafer » dans la région de Oued Ed-Dahab.
Intervenant lors de la conférence de presse de présentation de ces résultats, la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a précisé que la surveillance a porté sur 61 plages (38 sur la façade atlantique et 23 sur les côtes méditerranéennes).Le rapport a établi que la majorité des déchets collectés sur les côtes sont d’origine terrestre.
Concernant la qualité mycologique du sable des plages, les résultats obtenus ont permis de révéler la présence de certains champignons, qui ne présentent pas généralement de risque pour la santé, au niveau de certaines plages, selon le rapport.
Quant à la façade méditerranéenne, la plage de Cabo Negro dans la préfecture de Mdiq-Fnideq, figure en queue du classement avec un taux de 3.705 objets pour chaque 100 mètres, où les mégots représentaient plus de 83%. En revanche, le taux le plus bas en de telles substances, enregistré au niveau de la façade atlantique, soit près de 120 substances/100 mètres, est à l’actif de la Plage de « Musafer » dans la région de Oued Ed-Dahab.
Intervenant lors de la conférence de presse de présentation de ces résultats, la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a précisé que la surveillance a porté sur 61 plages (38 sur la façade atlantique et 23 sur les côtes méditerranéennes).Le rapport a établi que la majorité des déchets collectés sur les côtes sont d’origine terrestre.
Concernant la qualité mycologique du sable des plages, les résultats obtenus ont permis de révéler la présence de certains champignons, qui ne présentent pas généralement de risque pour la santé, au niveau de certaines plages, selon le rapport.
