Des frappes de drones d'origine inconnue ont visé, dans la nuit de jeudi à vendredi, une base aérienne dans l'est de la Libye où se trouveraient des mercenaires du groupe paramilitaire russe Wagner, sans faire de victimes, selon une source militaire.
La source, qui a requis l'anonymat, a indiqué à l'AFP que des drones "d'origine inconnue ont frappé la base aérienne d'al-Kharrouba, située à 150 km au sud-est de Benghazi (est), où se trouveraient des éléments du groupe Wagner".
"Les frappes n'ont pas fait de victimes", a-t-elle ajouté.
D'avril 2019 à juin 2020, Khalifa Haftar, l'homme fort de l'est de la Libye, a eu recours à des combattants tchadiens, soudanais, nigériens et syriens, mais surtout à des mercenaires de Wagner, dans sa tentative ratée de s'emparer de la capitale Tripoli.
Les centaines de membres de Wagner sont restés actifs dans l'est, la zone des terminaux pétroliers, et dans le sud de la Libye après le départ d'une partie de leurs effectifs vers le Mali ou vers l'Ukraine pour combattre aux côtés de l'armée russe.
Le gouvernement libyen basé à Tripoli a démenti vendredi toute implication dans des frappes de drones contre une base utilisée par le groupe paramilitaire russe Wagner dont avait fait état une source militaire du camp de l'Est dans ce pays divisé, ont rapporté des médias.
Ce genre d'informations, a indiqué le ministère de la Défense du gouvernement d'unité nationale, "visent à raviver la guerre entre frères libyens et impliquer la Libye dans un conflit régional".
La source, qui a requis l'anonymat, a indiqué à l'AFP que des drones "d'origine inconnue ont frappé la base aérienne d'al-Kharrouba, située à 150 km au sud-est de Benghazi (est), où se trouveraient des éléments du groupe Wagner".
"Les frappes n'ont pas fait de victimes", a-t-elle ajouté.
D'avril 2019 à juin 2020, Khalifa Haftar, l'homme fort de l'est de la Libye, a eu recours à des combattants tchadiens, soudanais, nigériens et syriens, mais surtout à des mercenaires de Wagner, dans sa tentative ratée de s'emparer de la capitale Tripoli.
Les centaines de membres de Wagner sont restés actifs dans l'est, la zone des terminaux pétroliers, et dans le sud de la Libye après le départ d'une partie de leurs effectifs vers le Mali ou vers l'Ukraine pour combattre aux côtés de l'armée russe.
Le gouvernement libyen basé à Tripoli a démenti vendredi toute implication dans des frappes de drones contre une base utilisée par le groupe paramilitaire russe Wagner dont avait fait état une source militaire du camp de l'Est dans ce pays divisé, ont rapporté des médias.
Ce genre d'informations, a indiqué le ministère de la Défense du gouvernement d'unité nationale, "visent à raviver la guerre entre frères libyens et impliquer la Libye dans un conflit régional".
