Le bureau du doyen du Parlement, Nabih Berri, a décidé de convoquer les nouveaux parlementaires ce mardi 31 mai à 11 heures en vue d’élire le prochain président du parlement dont il est le seul candidat suite au scrutin du 15 mai dernier.
Outre le président du parlement, le vice-président et les différents membres du bureau du parlement devront aussi être désignés. Seul candidat à sa propre succession, Nabih Berri devrait retrouver son perchoir qu’il occupe depuis 1992 en dépit d’une forte remise en cause du rôle qu’il a joué au sein d’une classe politique considérée comme corrompue par une grande majorité de la population civile.
Il est également désormais accusé d’entrave à la justice dans le cadre des enquêtes en cours portant sur l’explosion du port de Beyrouth où plusieurs de ses proches sont impliqués dont l’ancien ministre des Finances Ali Hassan Khalil ou encore l’ancien ministre des Transports Ghazi Zoaiter, tous deux membres comme lui du Mouvement Amal.
Le Courant Patriotique Libre aurait finalement indiqué qu’il ne votera pas en faveur du renouvellement du mandat de Nabih Berri au perchoir du Parlement, indique le quotidien Al Akhbar dans son édition de vendredi, rendant improbable sa réélection dès le premier scrutin prévu mardi prochain à 11 heures.
Devront également être nommés, le vice-président du parlement, les deux secrétaires et les trois commissaires qui composent le bureau du conseil.
Outre le président du parlement, le vice-président et les différents membres du bureau du parlement devront aussi être désignés. Seul candidat à sa propre succession, Nabih Berri devrait retrouver son perchoir qu’il occupe depuis 1992 en dépit d’une forte remise en cause du rôle qu’il a joué au sein d’une classe politique considérée comme corrompue par une grande majorité de la population civile.
Il est également désormais accusé d’entrave à la justice dans le cadre des enquêtes en cours portant sur l’explosion du port de Beyrouth où plusieurs de ses proches sont impliqués dont l’ancien ministre des Finances Ali Hassan Khalil ou encore l’ancien ministre des Transports Ghazi Zoaiter, tous deux membres comme lui du Mouvement Amal.
Le Courant Patriotique Libre aurait finalement indiqué qu’il ne votera pas en faveur du renouvellement du mandat de Nabih Berri au perchoir du Parlement, indique le quotidien Al Akhbar dans son édition de vendredi, rendant improbable sa réélection dès le premier scrutin prévu mardi prochain à 11 heures.
Devront également être nommés, le vice-président du parlement, les deux secrétaires et les trois commissaires qui composent le bureau du conseil.
