Ce samedi, on a l’impression que tout le monde est dehors… se rendant au supermarché pour acheter l’équipement nécessaire pour l’abattage du mouton du sacrifice ou pour compléter sa table de l’Aïd.
A l’entrée d’un supermarché dans la ville de Taza, les gens se pressent en direction des étals qui débordent d’épices, ingrédients incontournables dans la préparation des délices de l'Aïd comme Hmiss, Bakbouka, Kurdes, la friture (cuisson des entrailles de mouton) et séchage de la viande au soleil « kadid ».
D’autres se frayent un chemin vers les étals des fruits secs utilisés pour composer des assortiments ou comme accompagnement de certains plats comme la Mrouzia.
Les Tazi achètent en quantité suffisante même si les prix connaissent une hausse remarquable. Les pruneaux ont passé de 40 à 70 dhs le kilogramme alors que le prix du kg d’abricots secs est compris entre 130 et 150 dhs.
Les prix s'avèrent un peu chers comme l’a bien remarqué un client sans toutefois rechigner à acheter ce qu’il juge indispensable pour l’Aïd.
Les étals de fruits frais ne manquent pas de clients non plus. Ils sont entourés d’acheteurs qui profitent de l’occasion de l'Aïd pour s'offrir une diversité de fruits saisonniers comme les pastèques, les raisins, les melons et d’autres…
A la liste d’achat, spécialement à l’occasion de Aïd Al Adha, s’ajoute le matériel nécessaire pour l’abattage du mouton et l’équipement de préparation d’autres plats de l’Aïd comme la planche de grillade et le brasier, pour préparer la viande cuite. Nous avons remarqué qu’une bonne partie de gens opte pour le traditionnel brasier marocain « Majmar ».
Au cœur du supermarché s’ajoute cette fois-ci une partie réservée au charbon de bois. Les passants ne ratent pas l’occasion d’en acheter quelques kilos. Les prix varient entre 8 et 10 dhs pour le kilo.
Deux ans après la covid, l'Aïd Al Adha que nous fêtons cette année est l’occasion pour les Marocains de passer des moments de joie en famille. Mais, il constitue pour le commerçant l’opportunité aussi de jouir de la forte demande pour rétablir son compte après la crise de la pandémie.
A l’entrée d’un supermarché dans la ville de Taza, les gens se pressent en direction des étals qui débordent d’épices, ingrédients incontournables dans la préparation des délices de l'Aïd comme Hmiss, Bakbouka, Kurdes, la friture (cuisson des entrailles de mouton) et séchage de la viande au soleil « kadid ».
D’autres se frayent un chemin vers les étals des fruits secs utilisés pour composer des assortiments ou comme accompagnement de certains plats comme la Mrouzia.
Les Tazi achètent en quantité suffisante même si les prix connaissent une hausse remarquable. Les pruneaux ont passé de 40 à 70 dhs le kilogramme alors que le prix du kg d’abricots secs est compris entre 130 et 150 dhs.
Les prix s'avèrent un peu chers comme l’a bien remarqué un client sans toutefois rechigner à acheter ce qu’il juge indispensable pour l’Aïd.
Les étals de fruits frais ne manquent pas de clients non plus. Ils sont entourés d’acheteurs qui profitent de l’occasion de l'Aïd pour s'offrir une diversité de fruits saisonniers comme les pastèques, les raisins, les melons et d’autres…
A la liste d’achat, spécialement à l’occasion de Aïd Al Adha, s’ajoute le matériel nécessaire pour l’abattage du mouton et l’équipement de préparation d’autres plats de l’Aïd comme la planche de grillade et le brasier, pour préparer la viande cuite. Nous avons remarqué qu’une bonne partie de gens opte pour le traditionnel brasier marocain « Majmar ».
Au cœur du supermarché s’ajoute cette fois-ci une partie réservée au charbon de bois. Les passants ne ratent pas l’occasion d’en acheter quelques kilos. Les prix varient entre 8 et 10 dhs pour le kilo.
Deux ans après la covid, l'Aïd Al Adha que nous fêtons cette année est l’occasion pour les Marocains de passer des moments de joie en famille. Mais, il constitue pour le commerçant l’opportunité aussi de jouir de la forte demande pour rétablir son compte après la crise de la pandémie.
