La grève, qui concernera tous les services hospitaliers à l'exception des services de réanimation, des urgences et de la COVID, s'accompagnera de manifestations locales et régionales, annonce le MITSAM.
Le mouvement a également dénoncé l'interdiction de la manifestation des infirmiers et des techniciens de santé qui a eu lieu samedi, qualifiant l’intervention de certains éléments des forces de l'ordre, de «comportement non-professionnel». Et d'ajouter que ces interventions ont entraîné les blessures de plusieurs infirmiers et techniciens. Le MITSAM a ainsi, insisté sur son refus de toutes les formes d'abus et d'atteintes à la dignité et à l'intégrité physique des travailleurs du secteur.
En outre, les membres de la MITSAM ont déploré que « malgré les sacrifices faits, pendant près de neuf mois, face aux conséquences sanitaires de la pandémie et l’augmentation des cas d'infections dans les rangs des infirmiers et des techniciens de santé, qui ont atteint 1300 cas, dans la négligence absolue du ministère à ce sujet, nos protestations ont été accueillies par la répression et l’oppression ».
De plus, le mouvement a souligné que le ministère de tutelle continue de camper dans l'attentisme, alors qu'il avait promis d’ouvrir de nouveaux services de réanimation, des nouveaux hôpitaux de campagne, de construire de nouveaux hôpitaux.
Il sied de rappeler que la manifestation des infirmiers et des techniciens de santé, qui a eu lieu samedi 14 novembre, avait pour but de dénoncer le manque d'interaction du ministère avec leurs revendications «légitimes».
Le mouvement a également dénoncé l'interdiction de la manifestation des infirmiers et des techniciens de santé qui a eu lieu samedi, qualifiant l’intervention de certains éléments des forces de l'ordre, de «comportement non-professionnel». Et d'ajouter que ces interventions ont entraîné les blessures de plusieurs infirmiers et techniciens. Le MITSAM a ainsi, insisté sur son refus de toutes les formes d'abus et d'atteintes à la dignité et à l'intégrité physique des travailleurs du secteur.
En outre, les membres de la MITSAM ont déploré que « malgré les sacrifices faits, pendant près de neuf mois, face aux conséquences sanitaires de la pandémie et l’augmentation des cas d'infections dans les rangs des infirmiers et des techniciens de santé, qui ont atteint 1300 cas, dans la négligence absolue du ministère à ce sujet, nos protestations ont été accueillies par la répression et l’oppression ».
De plus, le mouvement a souligné que le ministère de tutelle continue de camper dans l'attentisme, alors qu'il avait promis d’ouvrir de nouveaux services de réanimation, des nouveaux hôpitaux de campagne, de construire de nouveaux hôpitaux.
Il sied de rappeler que la manifestation des infirmiers et des techniciens de santé, qui a eu lieu samedi 14 novembre, avait pour but de dénoncer le manque d'interaction du ministère avec leurs revendications «légitimes».
