Dans une mise au point en réponse à une vidéo publiée sur un site électronique selon laquelle les eaux usées générées par la station d’épuration de la prison de Tamesna constitue une "catastrophe naturelle" car il s’agit d’une eau polluée utilisée à des fins d’irrigation, l’administration précise que la zone dans laquelle se situe la prison n’est pas raccordée au réseau d'assainissement public, ce qui a nécessité la réalisation d’une station de traitement des eaux usées dotée de techniques de pointe. La même source souligne que l’eau traitée est conforme aux normes de qualité en vigueur, sur la base d’analyses de laboratoires effectuées régulièrement, notant que la prison n’a jamais reçu de plainte à ce sujet.
L'établissement pénitentiaire relève, toutefois, qu’il décline toute responsabilité face au recours de certaines personnes au pompage des eaux traitées pour l’utiliser à des fins d'irrigation.
Il assure par ailleurs que ceux qui véhiculent ces contrevérités n'ont même pas pris la peine de contacter l’établissement pour s’informer à ce sujet, faisant savoir qu’il se réserve le droit de recourir à la justice, étant donné que les auteurs de ces allégations ont porté atteinte à son image et à sa réputation, en faisant fi des efforts déployés par l’administration de la prison pour la préservation de l'environnement.
L'établissement pénitentiaire relève, toutefois, qu’il décline toute responsabilité face au recours de certaines personnes au pompage des eaux traitées pour l’utiliser à des fins d'irrigation.
Il assure par ailleurs que ceux qui véhiculent ces contrevérités n'ont même pas pris la peine de contacter l’établissement pour s’informer à ce sujet, faisant savoir qu’il se réserve le droit de recourir à la justice, étant donné que les auteurs de ces allégations ont porté atteinte à son image et à sa réputation, en faisant fi des efforts déployés par l’administration de la prison pour la préservation de l'environnement.