Du 26 au 28 avril, la famille istiqlalienne s’est réunie à Bouznika, dans une ambiance empreinte de militantisme partisan, à l’occasion du 18ème Congrès général du parti, qui a été marqué par la réélection de Nizar Baraka à la tête de l’Istiqlal. Un renouvellement de confiance qui signifie, d’un côté, l’attachement inébranlable du Parti de la Balance à la démocratie partisane, mais aussi au pragmatisme politique, étant donné les prouesses réalisées par Baraka lors de son premier mandat.
Cette décision résulte ainsi d’une analyse pragmatique de la situation du Royaume, qui s’est engagé dans une série de projets structurants qui requièrent une élite renouvelée, innovante, mais surtout qui a du cœur pour son pays. Et si, depuis plus de huit décennies, le doyen des partis marocains a répondu présent à chaque tournant majeur, aujourd’hui, son leader s’engage à honorer cet héritage, à travers une vision digne du capital historique, intellectuel et politique de l’Istiqlal.
Une vision renouvelée, mais en continuité avec la feuille de route lancée par le parti en 2017, cherchant à redonner au PI ses lettres de noblesse. Une stratégie dont les prémices sont d’ores et déjà perceptibles avec les rapports préparés par les différentes Commissions sectorielles du parti lors de ce Congrès et qui reflètent les contributions majeures des différents leaders istiqlaliens dans les réformes que connaît actuellement le Maroc.
L’objectif étant d’instaurer un Etat social, garantissant la dignité de toute la population, conformément au référentiel égalitariste de l’Istiqlal. Par ailleurs, et loin des enjeux électoraux du parti, ce Congrès général de l’Istiqlal renseigne également sur l’engagement grandissant envers la chose politique. Malgré les apparences d’un désintérêt général pour la politique au Maroc, des événements tels que celui-là révèlent la profondeur de l’attachement des milliers de personnes à la sphère politique.
Des partisans de tout âge, mais surtout des jeunes, sont venus des douze régions du pays, arborant fièrement les couleurs distinctives de l’Istiqlal et entonnant des chants fervents, illustrant leur attachement au parti et à la patrie. C’est aussi une grande victoire à célébrer.
Cette décision résulte ainsi d’une analyse pragmatique de la situation du Royaume, qui s’est engagé dans une série de projets structurants qui requièrent une élite renouvelée, innovante, mais surtout qui a du cœur pour son pays. Et si, depuis plus de huit décennies, le doyen des partis marocains a répondu présent à chaque tournant majeur, aujourd’hui, son leader s’engage à honorer cet héritage, à travers une vision digne du capital historique, intellectuel et politique de l’Istiqlal.
Une vision renouvelée, mais en continuité avec la feuille de route lancée par le parti en 2017, cherchant à redonner au PI ses lettres de noblesse. Une stratégie dont les prémices sont d’ores et déjà perceptibles avec les rapports préparés par les différentes Commissions sectorielles du parti lors de ce Congrès et qui reflètent les contributions majeures des différents leaders istiqlaliens dans les réformes que connaît actuellement le Maroc.
L’objectif étant d’instaurer un Etat social, garantissant la dignité de toute la population, conformément au référentiel égalitariste de l’Istiqlal. Par ailleurs, et loin des enjeux électoraux du parti, ce Congrès général de l’Istiqlal renseigne également sur l’engagement grandissant envers la chose politique. Malgré les apparences d’un désintérêt général pour la politique au Maroc, des événements tels que celui-là révèlent la profondeur de l’attachement des milliers de personnes à la sphère politique.
Des partisans de tout âge, mais surtout des jeunes, sont venus des douze régions du pays, arborant fièrement les couleurs distinctives de l’Istiqlal et entonnant des chants fervents, illustrant leur attachement au parti et à la patrie. C’est aussi une grande victoire à célébrer.
