Le Monde, ce prestigieux journal français qui, depuis sa fondation au lendemain de la deuxième guerre mondiale, s’est fait une spécialité de jauger le monde avec des œillères ou à travers le prisme biaisé d’une certaine gauche au positionnement fluctuant au gré des intérêts et des circonstances, vient de récidiver en publiant une supposée enquête fouillée sur la monarchie marocaine.
Spéculatoire à souhait et bardé d’hypothèses saugrenues dont les auteurs, autant que les commanditaires, ne s’embarrassent guère de soumettre à l’épreuve des faits et du recoupement étayé, le poncif en question est un ramassis de rumeurs usées mais réchauffées, puis raccommodées et rapiécées pour produire un patchwork faussement homogène de ouï-dire, depuis longtemps ressassés et que le temps et les faits ont pourtant maintes fois démentis et dissipés.
Avec tout le respect que l’on doit à ce titre vénérable dont on sait pourtant qu’il arrive régulièrement à ses dirigeants plus qu’à ses journalistes de fauter en se positionnant du mauvais côté de l’Histoire et de l’éthique professionnelle, comme ce fut le cas avec la célèbre tribune de JeanPaul Sartre sur l’usage de la torture pendant la guerre d’Algérie, que Le Monde avait sciemment choisi de censurer, la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d’une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité.
Si le méfait était l’œuvre d’un vulgaire tabloïd ou de l’une ou l’autre feuilles de chou spécialisées dans le sensationnalisme, le voyeurisme et l’exhibitionnisme dont se gave la presse dite People, on ne s’en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d’un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde, ne peut que décevoir.
Et puisqu’il n’y a pas grand-chose à décortiquer et encore moins à contrebalancer par des contre-arguments dans ce tissu d’affabulations, on se contentera de rappeler à nos confrères du Monde que l’état de santé de notre Roi n’est nullement un mystère et qu’il fait régulièrement l’objet de communiqués transparents et étayés par les avis d’éminents professionnels de la médecine.
On leur rappellera enfin et surtout que le peuple marocain, qui est ancestralement attaché à la monarchie et qui voue à ses Rois une sympathie et une fidélité indéfectibles, envisage l’avenir avec une confiance et une sérénité que nulles rumeurs ou spéculations ne sauraient ébranler.
Spéculatoire à souhait et bardé d’hypothèses saugrenues dont les auteurs, autant que les commanditaires, ne s’embarrassent guère de soumettre à l’épreuve des faits et du recoupement étayé, le poncif en question est un ramassis de rumeurs usées mais réchauffées, puis raccommodées et rapiécées pour produire un patchwork faussement homogène de ouï-dire, depuis longtemps ressassés et que le temps et les faits ont pourtant maintes fois démentis et dissipés.
Avec tout le respect que l’on doit à ce titre vénérable dont on sait pourtant qu’il arrive régulièrement à ses dirigeants plus qu’à ses journalistes de fauter en se positionnant du mauvais côté de l’Histoire et de l’éthique professionnelle, comme ce fut le cas avec la célèbre tribune de JeanPaul Sartre sur l’usage de la torture pendant la guerre d’Algérie, que Le Monde avait sciemment choisi de censurer, la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d’une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité.
Si le méfait était l’œuvre d’un vulgaire tabloïd ou de l’une ou l’autre feuilles de chou spécialisées dans le sensationnalisme, le voyeurisme et l’exhibitionnisme dont se gave la presse dite People, on ne s’en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d’un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde, ne peut que décevoir.
Et puisqu’il n’y a pas grand-chose à décortiquer et encore moins à contrebalancer par des contre-arguments dans ce tissu d’affabulations, on se contentera de rappeler à nos confrères du Monde que l’état de santé de notre Roi n’est nullement un mystère et qu’il fait régulièrement l’objet de communiqués transparents et étayés par les avis d’éminents professionnels de la médecine.
On leur rappellera enfin et surtout que le peuple marocain, qui est ancestralement attaché à la monarchie et qui voue à ses Rois une sympathie et une fidélité indéfectibles, envisage l’avenir avec une confiance et une sérénité que nulles rumeurs ou spéculations ne sauraient ébranler.
